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Ketesh Aapep, le calme avant la tempête (Terminée)
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Invité
Invité
Anonymous
Ven 22 Fév - 14:13
Ketesh AAPEP
}


ATTAQUE
★★☆☆☆☆☆☆☆☆
DÉFENSE
★★★★☆☆☆☆☆☆
MAGIE
★★★★★★★★☆☆
SOIN
★★★★★☆☆☆☆☆
VIE
★★★★★★☆☆☆☆
Nom : AAPEP

Prénom : Ketesh, il se fait appeler "Keith"

Âge : 22 ans

Groupe : Wanderers of Dawn and Dusk

Classe : Mage

Sous-classe : White Mage

Type d'arme : Son adorable sourire et ses beaux yeux? Non?! Okay okay...
Il sait utiliser ses poings si on le force, mais il aura tendance à se casser la main plutôt que le nez de son adveraire, donc il prefère éviter et se concentrer sur la magie, et sur le bâton qu'il utilise parfois pour utiliser cette dernière.
Et si le lancer de livres compte, alors il le maitrise à la perfection, sinon il est et restera toujours un magicien, la violence gratuite et physique c'est vraiment pas sa tasse de thé.

{
Type préféré de combat.

Ket est tout l'inverse de la brute épaisse, il doit déployer des trésors d'imagination pour eviter les combats au corps à corps.  Ce qu'il fait très bien.
C'est un magicien élémentaire, avec un gros avantage pour le soin. C'est un très bon soutien et un allié très utile, tant qu'on le force pas a se battre. Plutôt rusé il va attendre le bon moment pour devoiler ses talents, preferant être la botte secrète que celui se fait botter les fesses.

{
Habiletés spéciales.

Feat/Passif (Sous-classe) - Cure : +2 vie sur tous les alliés et -1 vie & -1 défense pour le lanceur
Feat/Passif (Personnel) - Calm Resonance : Toujours calme même dans les pires situations, celui lui confère un bonus au lancer de dés. Il joue donc avec des dés de rang supérieur (+1 niveau) pour ses attaques et sorts.
Cependant, lorsqu'il perd son calme -ça arrive même au meilleur éwè- il reprends les dés de son rang, et un malus de -1 defense.
{
Caractère.

~ Il y a forcement une bonne raison à ce qu'une chose arrive ~

Du genre à chercher le bon dans tout ce qu'il voit, entend, vit. Il est ce à quoi il ressemble, enfin il essaie en tout cas. Avec son air souriant et tout gentil, on pourrait le croire naïf, mais derrière son beau visage se cache une personne qui déchiffre les autres avec un calme surprenant. Très pragmatique, il va toujours s'interroger sur le bien fondé de chaque chose, prenant son devoir de réflexion très au sérieux pour blesser le moins de monde possible. Il n'y arrive pas toujours, mais en tout cas il essaie. Il n'aime pas parler de lui, de sa vie, de son passé. Moins il donne de détail sur sa vie, et moins on peut les utiliser contre lui : ça il l'a appris malgré lui. Ses motivations et son objectif, il ne les dit a personne, allant même jusqu'à changer de prénom pour garder ses secrets.
Voir le bon dans chaque personne et chaque action, persuadé que si on y croit cela peut devenir possible. Quelque part en lui, il reste un enfant qui veut croire que les belles choses sont réelles et que le monde n'est pas aussi sombre qu'on veut le lui faire croire.

Mais attention, sous ses dehors avenant c'est un juge impartial. Il ne suivrait pas n'importe qui. Gentil mais pas naïf et encore moins idiot. Il arrive souvent à se faire oublier dans un coin tant sa présence semble être insignifiante, mais mets un point d'honneur à donner son avis sur la question si on lui adresse la parole. Fin observateur, il note tout dans un coin de sa mémoire, on ne sait jamais si ça pourrait être utile a un moment ou un autre. Malgré sa timidité maladive, c'est quelqu'un de très curieux, et une fois assez en confiance, il peut être un vrai moulin à questions. Il voudrait tout savoir, tout le temps peu importe l'heure ou la situation. Il n'a pas forcement conscience de cet aspect « du bon moment » ou de son contraire, tout comme il n'a pas conscience de ses limites. Il veut parfois tellement bien faire qu'il oubli qu'il est humain, et qu'il a besoin lui aussi de se reposer : ce qu'il fait le minimum possible pensant qu'il aura tout le temps de se reposer une fois qu'il fermera les yeux à la fin de sa vie.

Il n'est pas du genre à se rapprocher des autres pour les poser ses questions mais préfère attendre qu'on lui adresse la parole en premier, et qu'il se sente accepté. Ainsi, même dans une situation délicate, il va essayer de s'en sortir seul plutôt que de demander de l'aide...et pourtant il est du genre à proposer la sienne quand la situation l'exige. Il est du genre à aider les autres, et tant pis s'il reçoit un « j'avais pas besoin de toi » en guise de remerciement. Un simple sourire et il oubliera l'histoire, même si tout au fond de lui, c'est une nouvelle petite brèche qui s'ouvre dans son armure de calme.
Il ne repousse pas systématiquement les gens qui essaie de fraterniser avec lui, il ne montre aucune animosité à personne mais quand il décline, il le fait avec politesses et sourires. Ses hésitations à se lier aux autres sont le résultat d'un manque cruel de confiance et d'estime de lui-même. Il est certain de ne pouvoir rien faire pour les autres, puisqu'il n'a jamais rien pu faire pour la seule personne vraiment importante à ses yeux, alors quand on l'aborde, il ne sait jamais si il doit le faire ou pas.  Ce manque de confiance se traduit par une grande timidité qu'il cache sous un calme olympien a toutes épreuves.

Ce visage calme, cette attitude calme sont une prison, une armure, un masque. Persuadé de devoir l'être en tout temps et en tout lieux, il garde pour lui ses doutes et ses craintes. Il parle très rarement de lui, gardant ses problèmes dans un coin, mais prête une oreille attentive à tout le monde pour n'importe quel sujet, et s'il en est capable tente de les conseiller et de les aider. Son calme est un masque qu'il porte en permanence, parfois même dans les situations qui ne s'y prêtent pas, pouvant le faire paraître vide d’émotions et de sentiments, comme un robot qui doit faire ce pour quoi il est conçu : mais il a toujours été ainsi, persuadé que si craque il sera sévèrement puni.  Ses accès de colère sont tellement rares que peu de personne pourraient en parler, mais lorsqu'il éclate il dit tout ce qu'il pense comme il le pense, sans masque, sans pommade, sans barrière : sa franchise et la violence de ses paroles font l'effet d'une douche froide tant elles sont surprenantes. Et forcement après, il s'en veut et s'enferme dans un silence encore plus solide, rongé par la honte et l'horreur de s'être laissé emporter par ses émotions négatives.

Et tout au fond de lui, il y a comme partout dans chaque être humain, il y a cette petite part d'ombre qui ne demande qu'à grandir et qui l'effraie au plus haut point. Il est certain que si il la laisse grandir, il se fera manger. Pour lui le monstre n'est pas sous le lit, mais bien caché tout au fond de lui : chaque colère, chaque pensée négative, chaque doute la font grandir chaque jour un peu plus. Et des pensées négatives depuis trois ans il en a eu quelques unes, parfois son regard se fait dur et glacial quand il y pense, mais il se raccroche à cette personnalité douce et calme. Il ne se laissera pas emporter, pas tant qu'il y a encore de l'espoir, et lui l'espoir il le voit et le cherche partout.

Si on garde les yeux grand ouverts, le noir ne peut pas nous engloutir, c'est un peu sa façon de voir les choses. Si on ignore le noir, alors rien ne peut nous arriver.   

Histoire.
}

Calme. C'est le nom qu'on aurait du donné à ce monde, ce village, cette famille et cet enfant tout juste né. Le doute était permis puisqu'il ne poussa aucun cri, son jumeau les poussant pour deux. Le jour et la nuit. Le calme et la tempête, c'était les surnom qu'on donnaient à ces gamins encore bien trop jeunes pour comprendre les mots des hommes.

Grandir n'est pas chose facile pour tout le monde, même quand on est bien droit sur ses jambes et qu'on rentre parfaitement dans le moule. Jamais un mot plus haut que l'autre, jamais de caprices, jamais de vagues. C'est comme ça qu'on m'a élevé, posant sur moi le fardeau d'être la fierté de la famille puisque le second était ingérable. Mais qu'est-ce que je l'aimais ma tornade de frère. Il me donnait toujours envie de sourire, de rire...mais les regards des grands me coupait cette envie. Alors je riais en silence, dans le secret de mon esprit. J'essayais de l'aider, de trouver comme faire pour qu'il se sente mieux dans sa peau, dans son corps...j'étais là pour lui. Je lui trouvais des idées pour se canaliser, pour se défouler pendant que je me concentrais sur mes études. Lire, c'était une passion que j'avais depuis que j'étais en âge de le faire. Parce que les livres sont calmes, et parce que même s'il s'y passe pleins de choses, rien ne déborde jamais de ces pages blanches, alors les grandes personnes ne se fâchent pas et ne lancent pas des regards méchants.

Plus le temps passait et plus la différence de caractère entre les deux jumeaux s'accentuait, mais nous étions toujours très proche l'un de l'autre. Les grands lui pardonnaient tout, certains qu'à force de ne pas regarder ses bêtises il allait cesser d'en faire. Ce qui bien sur ne marchait pas, mais quand on dit que l'espoir fait vivre...
Alors les grands se rappelaient qu'ils y avait deux enfants, et attendaient de l'autre qu'il soit un exemple, qu'il ne soit pas une déception. C'était tellement lourd de devoir rendre les grands heureux, et épuisant. J'étais toujours fatigué, peinant à garder les yeux ouverts quand le soleil disparaissait à l'horizon. Mais malgré ma fatigue, je me forçais à sourire, à être là. Comme ça les grands oubliaient mon frère, et le laissait tranquille. Ce n'est peut-être pas ce qu'il voulait, mais je ne savais pas quoi faire d'autre à l'époque.

En grandissant je lui ai dis de s’entraîner, pour vider son énergie, pour qu'il aille mieux. Assis a l'ombre d'un arbre, un livre à la main, je veillais sur mon petit frère, comme on veille sur la chose la précieuse du monde. C'était rageant, cette impression ne rien pouvoir faire pour l'aider, et que malgré le nombre de livres que j'avais avalés je ne pouvais rien faire pour l'aider mieux que ça. Mais tant que cela semblait suffire alors c'était bon. Et plus je grandissais plus les doutes s'infiltraient. Garder le sourire malgré l’épuisement, malgré les journées à garder le lit parce qu'incapable de se lever le matin. Mais toujours présent pour cette personne que je considérais comme une moitié de moi-même. Et quand je fermais les yeux le soir, c'était les cauchemars, les idées noires...mais je devais les chasser chaque matin, n'en parler à personne, avoir le sourire. Et le calme. Toujours. Ne jamais crier, ne jamais pleurer, ne jamais faire plus de bruit que nécessaire. Les repas étaient silencieux, jamais plus de mots que nécessaires, presque calculé. Cela ne me dérangeais pas moi, mais je savais combien celui coûtait à mon frère, alors des fois...des fois seulement, je posais des questions. Mais je ne savais jamais m'arrêter, jusqu'à ce qu'on nous ordonne d'aller nous coucher. C'était le signal, celui qui disait stop. Et combien de fois c'est mon frère qui m'a sorti des problèmes, en faisant tomber un objet ou en parlant plus fort que de raison, parce que je suis trop bavard quand je commence, parce que je ne connais pas mes limites à force de toujours marcher sur des œufs dans le calme le plus cérémonial qui soit.

Ces gens étaient mes parents, mais dans tout ce calme j'avais parfois l'impression ne n'avoir de vrai lien qu'avec mon jumeau. Alors fatalement, il est devenu la seule personne à vraiment compter. Des amis j'en avais plein à l'école, mais aucun ne me manquaient quand ils partaient loin, je n’éprouvais pas ce besoin de prendre de leurs nouvelles. Jamais. C'était comme si on les effaçait. Une fois, une seule fois j'avais demandé. Je n'avais eu qu'un long, très long silence comme réponse. Et j'avais prit ça comme une bêtise, comme si je n'avais pas le droit de poser ce genre de question, donc je ne l'avais plus jamais fait. Les études, les livres, mon frère et le calme. Je ne connaissais que ça. Et je n'aurais sans doute jamais connu autre chose si...


Le noir soudain. Je serais bien incapable de dire ce qui s'est passé, et pourquoi ça s'est passé ainsi. Comme quand on fait un malaise et que le noir vient nous grignoter tout entier. Je me souviens de la peur, de la panique, et de ce silence pesant. Le même qu'à la maison, mais je pouvais sentir qu'il y avait une différence. Je ne saurais dire si je suis resté inconscient, ou si mon esprit me l'a fait croire pendant qu'on traversait les heures les plus sombres de notre existence. Je n'ai absolument aucun souvenirs du jour qu'on a pu vivre, de si nous sommes allés dormir, ni nous sommes morts...non ça c'est impossible, puisque j'ai fini par ouvrir les yeux.

La lumière m'a fait mal d'ailleurs. Les sons aussi. Je sentais la panique, je sentais mon cœur battre si fort qu'il devait faire un bruit monstrueux même dehors. Je devais me calmer, ou les grandes personnes allaient encore me regarder bizarrement. Je devais me calmer. Mais je n'y parvins pas quand un visage totalement inconnu s'est penché sur moi pour me regarder, me sourire et crier quelque chose à une autre personne. J'avais affreusement mal au crâne. J'ai voulu serrer sa main, mais elle n'était pas là. La panique s'est fait plus grande, je fus pris d'un haut le cœur. Tant pis pour les grandes personnes. Après plusieurs heures, j'ai réussi a me calmer assez, à sécher mes larmes silencieuses, et à me redresser. Je ne connaissais personne. Il y avait tant de monde et je ne connaissais aucun visage. Avais-je si peu fait attention aux autres que j'étais incapable de reconnaître qui que ce soit ?

Je pris mes jambes entre mes bras, enfoui ma tête dedans, et pleurait. Me cacher, je devais me cacher, on ne devait pas me voir, sinon j'allais être puni. Et tout ce bruit, c'était insupportable. Je n'avais pas l'habitude. J'avais beau demandé le silence, personne ne m'écoutais. Je crois que c'est la première fois que j'ai crié. A m'en irrité la gorge. Le silence s'est fait autour de moi, alors j'ai sourit, et j'ai de nouveau sombré dans le noir.

Et malgré tout ça, il n'était toujours pas là.

Petit à petit je me suis repris en main. Il n'était pas dans cette pièce mais sans doute dans une autre. Alors j'ai tout fouillé malgré les protestations. Je devais le trouver. Sans jamais dire ce que je cherchais, comme si c'était un tabou dont je ne devais pas parler. On m'a calmé de force. C'est drôle a dire pour moi, qu'on a été obligé de m'imposer le calme. J'ai compris, ici je n'avais pas le droit d'être bruyant. C'est noté, je ne le ferais plus. Jamais.

Il m'a fallut plusieurs jours pour accepter l’évidence. Je n'étais plus chez moi ; J'étais ailleurs. Dans un ailleurs bien trop lointain pour que j'en ai déjà entendu parler. On a essayé de m'expliquer mais je refusais d'entendre. Si moi j'étais ailleurs, lui où est-ce qu'il était ? Alors j'ai osé demandé...et on m'a demandé mon prénom. J'ai menti, pour la première fois de ma vie.

« Je m'appelle Keith »

Ils se sont regardés, et je leur ai sourit.

« Setesh, mon frère s'appelle Set'... »

Un regard entre eux, un sourire compatissant, et un signe de tête. Il n'était pas là. Impossible. Il m'avait laissé tomber. Non...ce n'était pas lui. C'était moi l’aîné. C'est moi qui avait pour devoir de veiller sur lui. JE l'avais abandonné, j'ai failli à ma promesse de toujours veiller sur lui, de toujours être là pour lui, quoiqu'il arrive. Je n'osais pas penser au pire mais, les autres y ont pensé pour moi. Il était sans doute....non même par la pensée je refuse d'y croire. Mais l'idée a fait son chemin, malgré moi....


Trois ans. Aujourd'hui cela fait trois ans que je vis ici. Twilight Town. C'est un joli nom « La cité du Crépuscule », et l'endroit est sympa. Bruyant certes, mais je m'y suis fait maintenant. Mais malgré le nom sympa, l'ambiance apaisante je n'arrive pas à m'y considérer comme chez moi. Parce que c'est que l'on m'a dit, que notre monde avait doute sombré dans les ténèbres et qu'il avait disparu, à jamais. Que je ne rentrerais jamais. Oh on ne me l'a pas dit comme ça, mais c'est comme ça que je l'ai retenu en tout cas.
Parfois je bouge, je le cherche ailleurs, je demande si les autres ne l'ont pas vu. Parce que c'est ce que l'on fait ici, chercher, dans des endroits, des mondes différents. Mais personne ne l'a jamais croisé, alors je vais finir par croire qu'il est vraiment...non, il est encore trop tôt pour y croire.

J'ai ré-ouvert des livres, je me suis découvert une aptitude de magicien. Plus doué avec les lignes de sorts qu'avec mes poings. J'en ai eu des doigts cassés en voulant jouer les grands malins. Je suis une grande victime, une chochotte comme on m'a souvent dit. Mais ce n'est pas ce que je veux être. Je veux qu'on puisse compter sur moi, mais je manque tellement de confiance en moi...je ne l'ai pas aidé lui, alors qui pourrait bien vouloir me faire confiance, sûrement pas moi, je ne me ferai pas confiance. Et cette idée me ronge, doucement mais sûrement. Et je me cache, derrière mon nouveau nom, derrière mon amnésie volontaire destinée à oublier mon passé. J'avance. Je me bats, à ma manière. J'apprends ce que je peux apprendre.

Aujourd'hui je suis un magicien, plutôt doué. Je joue avec un peu tout, mais il n'y a pas a dire, je préfère être l'assistance de tout le monde. Je préfère aider les autres. Alors le soin, c'est ce que je maîtrise le mieux. J'aime pas la violence, je trouve qu'elle ne résoud rien. Je suis trop calme pour avoir le sang chaud. Je ne veux pas l'avoir. J'essaie de rester moi-même. J'essaie, je dis pas que je vais y arriver. Mais si je ne ferme les yeux, le noir reste derrière moi n'est-ce pas ? Si je souris, le mal ne peux pas m'atteindre. Je m'en suis persuadé, alors j'y crois. Et c'est fort de cette idée que j'ai choisis de vivre maintenant.

{
Particularités.


  • J'aime lire, a tel point que j'en oubli le monde autour de moi
  • Mon calme est legendaire, enfin je crois!
  • Une couleur de peau qui s'adapte a l'endroit où je me trouve: en gros je suis bronzé au soleil, et blanc sous les nuages. Il nous fallait bien ça chez nous pour survivre!
  • J'ai une sainte horreur des serpent et autres bestioles qui rampent....
  • Je suis extremement difficile pour manger, je n'aime pas grand chose en plus d'avoir un appetit d'oiseau
  • J'aimerai être un oiseau...ou un papillon!

Hors-jeu. }Je suis une limace, un poulpe, une pasteque et tout ça en même temps! CALL ME POULPASTEKIMASU! J'ai plus toutes mes dents, je me nourrit de thé et de chocolat, la base quoi! Je vis au jour le jour, enfin presque, des fois je vais travailler quand même!
J'aime beaucoup, jouer et même faire du JDR quand j'ai le temps!
Setesh c'est mon fils! Si si! Et comme je suis aussi faible que lui, me voila sur un fow RP, après deux ans de silence (et de flemme)! Ca va faire tout drôle!

Les lapins sont mes amis, ils faut les aimer aussi, même si ma lapine est une teigne, elle est belle! Et sinon que dire d'autre?  Je sais pas trop moi XD
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Chirithy
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Chirithy
Such power Messages : 80
Munny : 376
Date d'inscription : 13/11/2018
Sam 23 Fév - 18:24
Validation!
}



{ Petit mot.
Oh hey ♪

Bon ça va pas te surprendre parce que je te l'ai déjà dis mais t'es validay ♪
C'bien écrit et ça complète la fiche à Setesh, j'ai rien à redire franchement xD
Allez go t'amuser Ketesh Aapep, le calme avant la tempête (Terminée) 3436850929

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Statistiques. }

  • Rang :
  • Points de vie :
  • Attaque :
  • Attaque critique :
  • Magie :
  • Sort critique :
  • Défense :
  • Soin :
  • Curaga :

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