Bienvenue au Dark Council [PV: beaucoup trop de monde]

Mar 3 Mar - 20:31

Thanatos entra en trombe dans le QG du Dark Council, ne lâchant absolument personne. Quel heureux hasard que personne n’ait semblé à fermer les portes avant de partir – Jafar va encore râler en rentrant – du moins, pas celle de l’entrée et encore moins celles menant à ses appartements. Heureusement d’ailleurs qu’il s’agissait d’une double-porte, autrement, la situation aurait été complètement stupide. Toujours est-il que les trois femmes pouvaient regarder le paysage défiler au fur et à mesure de leur avancée jusqu’à ce que les pattes du chaton médecin ne finissent par céder sous le poids de la fatigue musculaire et de l’effort… juste à l’entrée de ses appartements !
Son chez lui douillet était composé d’une pièce de taille moyenne où il dormait et y entreposait son bazar de coussins moelleux où il dormait – et où ça puait l’herbe à chat – et son laboratoire adjacent ; pour ceux qui se demandent où se trouve la pièce contenant l’or qu’il a volé… eh bien… à l’extérieur et gardé par une certaine dragonne amadouée par un gâteau de miel… hum. Enfin, si elle n’est pas partie se promener.
Toujours est-il que la cinétique fit qu’en s’écroulant brusquement, l’inertie et les mouvements de ses bras firent qu’il envoya valdinguer les trois femmes sur les coussins, de manière plus ou moins violente. Lui-même, carrément sur le sol mais ne s’étant rien cassé, releva légèrement la tête pour vérifier que personne n’avait rien.

- On est à l’abri !… je vais peut-être dormir un peu… dit-il en se traînant maladroitement vers un grand oreiller où il y fit son lit façon chat avec ses petites patounes avant de s’allonger dedans. Je dois avoir du thé et des sardines grillées dans le laboratoire à côté… Zzzzzz...

Mer 4 Mar - 11:20

Alors là, Djehuty n'a RIEN compris à sa vie. Elle était à sa première vraie fête, elle s'était habillée expressément en sachant qu'Akusei serait là et voilà que des heartless ont attaqués en masse. Et ci c'était que ça... Sa partenaire de danse qui s'en va, dans le plus grand des calmes, un type qui court avec une petite du RGPC dans les mains et elle qui les rattrape, tout ça pour se faire embarquer de force par l'autre gars. Comment vous dire, la confusion dans son regard quand elle s'est faite prendre le bras. Tout ce qu'elle a eu le temps de faire, c'est un "woaaaaah!" très fort et très confus. Et puis, un portail, des murs noirs, des roches noires, un ch-oh bordel est-ce que ce serait pas un chien à trois têtes de plusieurs mètres de haut au loin?! Et puis, d'un coup, il a enfoncé des portes et s'est étalé sur le sol... Oh et tout le monde est entrain de se faire projeter.

Wo-woaaaa- Pas pu finir son cri. Sa tête s'est retrouvée enfoncée et coincée entre deux coussins, le reste du corps suspendu en l'air à essayer de trouver la terre ferme. Mon dieu que cette scène est ridicule. On peut même encore entendre sa voix hurler un son étouffé par l'épaisseur dans laquelle elle a accidentellement plongé. Et puis, ses bras trouvent les coussins, s'appuie dessus pour forcer à s'extirper la tête et-

*Grosse inspiration*

Et voilà à l'air libre. Elle reprends son souffle, dans la panique. Inspire, expire, ça va aller. La petite reste dans cette boucle jusqu'à ce que sa respiration se calme et redevienne normale. Elle tourne la tête partout tout autour d'elle, cherchant un visage à qui s'adresser. Et voilà que l'autre parle mais, tout ce qu'elle comprends, c'est thé, sardines, labo et-...Il vient totalement de s'endormir là? C'est vraiment pas ce dont elle a besoin là tout de suite. Djehuty jette son regard sur les autres, regard qui commence à se perdre dans le vide.

J-j-j-j-j- Où Qu-q-qu'est-c-qu-qu- Et, dans la confusion, un élan de lucidité. Une pensée pour Akusei. Et là, ses yeux s'agrandit, s'horrifient, ses mains tremblent. Son calme à peine regagné vient de s'envoler.

N-n-non ! J-d-rev-reve-il- Tente-elle de dire alors qu'elle commence à se lever, non sans difficultés. Elle a encore des forces mais ça l'a secoué, et pas qu'un peu.

Mer 4 Mar - 13:37

Qu’est-ce que c’était que tout ce remue-ménage ?

Dans le couloir, les grosses bottes de Gaston résonnaient. Il était contrarié, je dirais même fâché. C’était aujourd’hui son tour de garde, ce qui ne l’avait pas trop gêné au départ, après tout même les chasseurs se reposent (et sa dernière mini-victoire contre la dragonne maléfique valait bien ça et l’avait fait gausser toute la semaine, les membres étaient fatigués), mais alors que tout le Conseil s’entend à faire preuve…d’Une confiance relative (car il ne faut pas non plus trop rêver). Gaston n’avait pas apprécié qu’une ombre un peu trop familière, se faufile sans même passer dire « Bonjour » ? Ça le fit même douter au point de prendre son fusil avec lui.

Ainsi, il toqua lourdement contre la porte de Thanatos avant d’ouvrir, sans plus de cérémonie.
A la vision du chat-médecin et des trois inconnues, Gaston lâcha un lourd soupir d’agacement.

« Thanatos, vilain matou. »

Il étira un bras sur le côté, pointant un index dénonciateur vers les trois demoiselles (il n’eut pas le temps pour l’instant de les dévisager pour savoir si l’une d’elles était suffisamment charmante).

« Tu peux m’expliquer c’est quoi ce désordre ? Et Corona ? Où sont les autres ? Je croyais qu'on avait convenu à plus de bonnes femmes ! »

Encore un peu et il était prêt à poser son pied sur un de ces coussins moelleux qu'il n'allait pas hésiter pas à salir d'une grosse trace de pas.

Mer 4 Mar - 13:42

Bienvenue au Dark Council

« Into the Underworld we go. »

Leur course effrénée les mène tout droit dans un portail – vifs éclats de ténèbres – alors qu’ils le traversent en le temps de le dire, tous ensemble, avant de dévaler en trombe corridors et portes. Aisling porte son attention sur ce qui se passe, sans réellement bien comprendre. Ils ont changé de monde, certes – elle s’en attendait, mais où étaient-ils, maintenant?

Et alors, l’homme les jette tous sur le sol sans plus de cérémonie. Aisling se rattrape sans mal, de manière beaucoup plus gracieuse que l’homme qui s’effondre contre des oreillers – et sa partenaire de danse, qui s’y retrouve le visage coincé.

▬ Cet endroit empeste les Ténèbres…

Premiers mots s’extirpant de ses lèvres alors que la Dame de Brume se relève, une mine irritée au visage, époussetant de sa robe la poussière causée par la soudaine chute. Elle remarque, de ces mouvements calculés, sa peau devenir plus pâle. L’illusion est en train de se défaire – graduellement, sa chevelure rousse retrouve ses teints lunaires.

Elle regarde dubitativement l’homme imiter un chat, s’endormant en parlant de sardines et de laboratoire. Du thé? Oh, elle ne dirait pas non à du thé.

Aisling passe une main dans sa chevelure, touchant du bout des doigts une de ses cornes, se retournant pour faire face à la compagnie. Où se trouvent-ils exactement? Dur à dire. Ce qu’elle sait, cependant, c’est qu’elle n’y a jamais mis les pieds… et qu’une importante couche de ténèbres tache les murs.

▬ Quel étrange retournement de situation…

Elle pose son regard sur sa partenaire de danse, et puis sur la petite Agnès. Heureusement, rien ne semble vouloir les attaquer – et peu importe ce que représente ce lieu, aucune entité malveillante ne semble leur vouloir du mal…

Pour l’instant.

Elle pose quelques pas vers Agnès, lui tendant la main afin qu’elle puisse se relever, avant de poser son regard sur celle avec qui elle a dansé quelques temps plus tôt.

▬ Rien de cassé?

Pas le temps de finir sa phrase que quelqu’un cogne à la porte avant de l’ouvrir. La porte claque presque contre le mur et Aisling se retourne, prête à frapper, les ténèbres dansant finement contre ses doigts.

C’est un homme. Il … S’adresse à l’autre, qui dort.

▬ Et vous êtes?

Question demandée sur une pointe sarcastique, presque trop hautaine, alors qu’Aisling s’approche de l’homme, les poings sur les hanches, et le dévisage. Il ne semble pas avoir beaucoup de classe – ni réellement de distinction. Un homme du peuple, sans aucun doute.

Mer 4 Mar - 17:02

Bienvenue au Dark Council;

J'avais beau chercher, j'étais incapable de savoir où j'avais pu voir cette jeune femme, et ce fût finalement sa voix qui me mis la puce à l'oreille. Ce ton, cette façon de parler si particulière…

▬ Ais-

Je fus coupée net par l'arrivée d'une autre personne. Elle aussi je pensais l'avoir déjà vue. Chez Merlin peut-être ?…

Mais le temps manquait pour penser à ça, surtout que Thanatos venait de me lâcher pour que je m'accroche à ses cheveux ! J'espérais vraiment ne pas tenir trop fort, je ne voulais pas abîmer ses boucles ou lui arrach… Ah !

Tout le monde fût emporté dans un portail de ténèbres. C'était effrayant, toute cette masse noire qui nous entourait soudainement, mais aussi étrangement familier. Et ça ne faisait que m'angoisser plus. Pourtant, personne n'en fût blessé, ou quoi que ce soit d'autre. Peut-être que la présence de Thanatos nous protégeait ?

Une fois arrivés dans un autre monde – très sombre. Mes yeux mirent du temps à s'y habituer – la course ne fut pas finie pour autant. Il y eut des couloirs qui se ressemblaient tous, un Colisée – hé mais c'était pas celui où… - de nouveaux couloirs, une porte que Thanatos ouvrit… Pour ensuite s'effondrer par terre ! Et sous la surprise, on fût toutes projetées en avant ! Tandis qu'Aisling pût stopper rapidement son élan, la fille termina la tête entre deux oreillers, et moi… J'utilisai mon écharpe pour atterrir sans trop d'encombre – je n'avais pas été faite éjecter, je m'étais envolée ! - et parvins à tomber sur des oreillers. Mais tombai quand même. Et maintenant j'étais… La tête en bas ? Sur le coup, j'en fus un peu sonnée, mais une galipette à l'envers, et me revoilà sur pieds ! Bon, je ne tenais pas tout à fait, et failli perdre deux fois l'équilibre, mais avec l'aide d'Aisling, au moins, j'étais debout.

Euh… Si j'avais quelque chose de cassé… J'avais oublié mon plâtre.

Qui me rappela qu'il existait avec une légère douleur.

▬ Hmm… A part ça, je vais bien !

Dis-je en sortant le bras plâtré de sous ma cape. … Dont la capuche était baissée depuis un bon moment. Ouuups. C'était certainement dû à la course…

Je voulus alors voir comment allaient les deux autres, mais soudain, un géant rouge entra dans la pièce, défonçant la porte ! De sa voix grave, il me sembla menacer le chat, lui demanda ce qu'on faisait ici. Euh… Très, très, très longue histoire. Inquiète, je tournai la tête vers Aisling qui lui répondait et… Sursautai sur le coup en voyant qu'elle avait repris son apparence. En tout cas celle avec laquelle je la connaissais.

Mon regard passa du géant à Aisling, d'Aisling au géant plusieurs fois, avant que je ne recule de quelques pas, inquiète.

Mer 4 Mar - 17:18

Trop vieux, trop lourd, trop épuisé pour ces conneries. Puis les jambes humaines, non, avoir une apparence humaine, c’est de la merde d’abord. Oogie Boogie n’était pas très satisfait, sauf pour certaines parties, mais sans plus. Point bonus quand il a dû râler plusieurs fois pour que ces sales gosses viennent à lui. Parce que eux, ils s’amusaient, contrairement à lui. Qu’importe ! Ils vont désormais entrer à la maison. Leur deuxième maison. Monsieur a la flemme de retourner au manoir qui se trouve à Halloween Town pour les déposer et ensuite repartir pour arriver aux Enfers. De toute façon, ce n’est pas la première fois qu’il emmène les petits, ça arrive que de temps en temps mais pas souvent, et il les sait assez ‘fort’ pour se trouver dans un tel lieu. Hey, ce sont ses gamins, ce sont des durs à cuire, obligé !

Et donc voilà, notre bon croque-mitaine apparaît dans le hall, laissant les enfants gambader là où ils veulent, ricanant comme de sales hyènes. Ils ont tous retrouvés leur apparence initiale, qu’est-ce que ça fait du bien ! Par contre, qu’est-ce qu’il a faim, qu’est-ce qu’il…

Oh.

Il y a une odeur qui le guide, il se déplace, laissant ses instincts primaires se décider pour lui. Il longe le long et sombre couloir, dansant un peu et… tiens ? Une porte ouverte ? Des voix ? Il reconnait celle du chasseur. Le Boogeyman s’avance, se faufile dans la salle, derrière Gaston, regardant à peine ce qui se passe et donne un grand coup dans le dos du brun, riant, crachant quelques insectes.

“Eh beh alors, mon beau boeuf, tu as ramené des femelles ?” fit-il en imitant des ‘petits’ coup de coude contre le bras de Gaston avant que son regard se pose sur le chat-médecin endormi et qu’il abaisse son bras “Ou Thaminou finalement ?”

Oogie Boogie vient seulement de se rendre compte qu’il a craché ses insectes au visage de la cornue, mais ce n’était pas elle qui attirait son regard, mais…

“Chatonnette !”

Puis il accélère le pas, bousculant, sans ménagement, Gaston et la femme là, pour arriver jusqu’à Agnès, légèrement s’accroupir et la regarder de plus près.

“Toujours aussi petite, ha !”

Rapidement, sans qu’elle puisse faire quoique ce soit, il la soulève de ses deux bras, tourbillonne légèrement sur lui-même, dansant presque et la lance en l’air pour ensuite la rattraper. Un sifflement de serpent pouvait se faire entendre, heureux. Enfin faut pas qu'elle sache que je suis heureux de la retrouver, sinon comment je fais pour qu'on me prenne pour l'horrible prince des cauchemars !

“Mais du coup, c’est qui ces femelles ?” Qu’il demande en regardant l’autre qui est sur des coussins puis la madame qu’il avait bousculé, tenant Agnès contre lui, ne l’ayant pas toujours relâché, d’un seul bras. -Oui il la tient comme un ballon- lui tapotant gentiment la tête, paternel.

Mer 4 Mar - 18:00

Thanatos était épuisé par sa course mais de trop nombreuses interventions le firent se réveiller en sursaut et il se mit à feuler aussitôt.

- Mais on avait dit cinq minutes maman !… Gaston ! Coupain Oogiiiiiiiiie !!!!

Il se jeta sur Oogie comme un chaton trop affectueux le ferait sur un humain qu’il appréciait et il se frotta contre lui en ronronnant, alors que le sac à insectes tenait la petite Agnès contre lui.

- Alors, y a des Heartless qui ont attaqué des gens à Corona et j’avais peur pour la petite alors je l’ai emmené avec moi !… et puis y a eu ces deux mesdames qui étaient sur le chemin donc je les ai prises avec moi. Pourquoi ? J’espère que tu penses à rien de pervers hein ? Moi tu sais que ce ne sont pas les femmes qui m’intéresse, juste les femelles. Les chattes surtout, de cinq ans au moins. Après c’est trop vieux, leurs cycles sont moins réguliers pour la reproduction… miah. dit-il en miaulant davantage.

Il vit alors la manière dont Oogie tenait la petite.

- Toi aussi c’est ton amie ?! Bon allez, tea time ! Reste pas à l’entrée Gaston, tu vas louper l’heure du thé ! Et essuie tes pieds, les Heartless en ont marre que tu laisses traîner de la boue partout! dit-il en s’engouffrant dans son laboratoire pour en sortir une table, des tabourets et des gâteaux. Puis il retourna dans la pièce avec sa théière pour faire chauffer de l’eau.

Jeu 5 Mar - 9:15

Elle a encore du mal à bien se relever mais ça y est, c'est bon. Ça l'a bien secoué tout ça. Elle n'a même pas eu le temps de reprendre ses esprits que tout s’enchaîne, une fois de plus. Elle qui n'a qu'une seule pensée en tête, la partenaire de danse qui se transforme avec des cornes, la petite qui peut voler, l'autre gars qui s'est endormi comme un chat et maintenant y a un gros bodybuildé avec un air rustre qui vient s'incruster. Et si c'était que ça... Maintenant y a carrément un putain de sac à patates bourrés d'insectes qui parle. Et elle, Djehu, elle regarde toute les scènes en une s’enchaîner sous ses yeux, bouche bée. Là tout de suite, elle ne cherche pas à savoir qui est qui ou quoi. Elle a essayé de parler à chaque fois que quelqu'un prenait la parole, tout ça pour se faire interrompre. Personne n'a l'air de l'avoir entendu, ou pire, de la prendre en compte. Se faire ignorer, c'est bien quelque-chose qui ne l'a pas manqué. Et voilà que l'autre enfonce le clou en parlant de l'heure du thé, et sur ce ton. Le sang de la djinn n'a fait qu'un tour et c'est une grosse frustration qui s'apprête à exploser.

D-d-d-u Thé?! O-on vi-v-ient de su-su-rvivre à une inv-v- Elle a beau vouloir articuler et gesticuler des mains, ça ne fait rien. Non seulement elle se sent invisible mais en plus, même quand elle veut se démarquer, elle se foire misérablement. S'en est trop.

Elle sert les poings et grince les dents. Elle a les nerfs à vif, ça oui. Pire encore, l'angoisse prédominante ne demande qu'à laisser sa place à une colère très noire.

Ramenez-moi là-bas !

Jeu 5 Mar - 12:58

« Et vous êtes ? »

Gaston n’appréciait pas qu’on lui parle sur ce ton, encore moins quand il s’agissait d’une femme. Il lui rendit le même regard hautain et méprisant.

« Non. C’est moi qui pose les questions ici. »

Il releva son fusil de son épaule, non pas qu’il avait l’intention réelle de l’utiliser (ça ferait des trous partout et on l’engueulerait). Non du tout, c’était juste une façon de rappeler qui décidait ici.

« Vous êtes sur une propriété privée, c’est plutôt à moi de vous demander qui vous êtes. Je ne vous dois rien. »

Ce n’est sans compter sur le gros balourd d’Oogie qui s’était glissé derrière lui (comment un truc si lourd pouvait être si discret quand il le voulait ?!) pour donner une tape dans son dos, ébranlant légèrement le chasseur qui sursauta de surprise.

« Eh beh alors, mon beau bœuf, tu as ramené des femelles ? »

Gaston fut outré à la remarque plus que calomnieuse.

« Je n’ai ramené personne ! »

Et il dénonça du doigt le chat qui avait à peine bougé de son coussin. Mais ce n'est pas Oogie qui irait l’engueuler, il se tourna vers l’une des trois inconnues, une enfant, il l’enlaça (comble de l’horreur), l’air pas du tout dérangé que TROIS D’INCONNUES ONT DECOUVERT LEUR CACHETTE SECRETE.

« Mais du coup, c’est qui ces femelles ? »
« Ha ! C’est ce que j’aimerai découvrir. »

Tout ça en menaçant du regard la femme aux cornes qui n’avait pas baissé des yeux depuis tout à l’heure : elle le cherchait ou quoi ?
Au même moment, le chat avait enfin ouvert les yeux, se jetant en premier sur Oogie avant de s’expliquer.

« Alors, y a des Heartless qui ont attaqué des gens à Corona et j’avais peur pour la petite alors je l’ai emmené avec moi !… et puis y a eu ces deux mesdames qui étaient sur le chemin donc je les ai prises avec moi. Pourquoi ? J’espère que tu penses à rien de pervers hein ? Moi tu sais que ce ne sont pas les femmes qui m’intéresse, juste les femelles. Les chattes surtout, de cinq ans au moins. Après c’est trop vieux, leurs cycles sont moins réguliers pour la reproduction… miah. »

Mais mais…
Gaston devint rouge, furieux.

« JE ME MOQUE DE TES FEMELLES ! Ou de tes chattes, qu’importe comment tu les nommes ! »

Il se moquait d’autant plus comment ce mec se reproduisait.

« Et tu faisais quoi pendant la réunion ? Tu dormais ? Tu crachais une boule de poils ? Si ce qui s’est passé est bien vrai, dans ce cas le plan s’est déroulé comme prévu ! MAIS A AUCUN MOMENT TU DEVAIS RAMENER DES VICTIMES COLLATERALES ! »

Et d’un geste il engloba les… Trois-là.
Mais le chat semblait bien s’en ficher de la mauvaise humeur de Gaston, au contraire, il se dit même qu’un peu de thé lui ferait du bien. Puis surtout sans rien salir, hein.
Là, c’est Gaston qui se sentit bien bête, il avait envie de répliquer mais…

« Je… Je me fiche bien des sans-cœurs… »

…
Il frotta ses bottes sur le paillasson, avec une mine clairement dégoutée et humiliée.
Mais il se méfiait de ce foutu chat.

Puis quand il alla pour rentrer c’est une autre fille, celle qui s’était fait discrète jusqu’à maintenant qui se mit à crier !

« Oulah. On va se calmer, mademoiselle. »

Il la surplomba du regard et la menaça en la pokant avec son fusil.

« Personne ne ramène personne. Vous allez attendre tranquillement avec nous jusqu’à que tout le monde revienne et qu’on décide, ENSEMBLE, ce qu’on va faire de vous. »

A défaut de d'autres têtes pensantes, c'était Gaston qui décidait, après tout c'est lui qui devait veiller qu'aucun intrus ne rentre ou sorte.
Bon courage.

Jeu 5 Mar - 23:22

Bienvenue au Dark Council

« Into the Underworld we go. »

Tout arrive en même temps – après l’homme la toisant avec le même air que le sien, tentant de la menacer avec son arme – une forme humanoïde en tissu se dandine, hausse la voix, et crache des insectes dans la direction de la Dame de Brume, qui, dégoûtée, recule de quelques pas.

Heureusement, il aura distrait le tas de muscles pour un court moment, jusqu’à ce qu’il la bouscule sauvagement et s’avance vers Agnès. Elle s’apprête à réagir – mais le sac d’insectes fait tournoyer la petite, ne semble lui vouloir aucun mal. Aisling se rend alors réellement compte du plâtre de la petite – Oh, mais comment s’était-elle fait cette blessure? La Dame n’a pas le temps de lui demander – avant que le sac se retourne vers eux.

Femelles.

Encore.

Aisling grogne dans son souffle, plisse le nez, avant de retourner son regard sur l’homme en rouge.

Et l’homme qui s’était jusqu’alors endormi se réveille, remarque ceux qui sont maintenant présents, et se résout à réciter une tirade interminable qui parle de … de … Chattes? Elle est confuse, jusqu’au moment où l’autre lui répond. Cet homme n’en est pas réellement un ; elle le ressent, maintenant plus qu’elle ne le sentait avant. Boules de poils… Eh bien, quelles surprises étranges.

Attend. Le plan?

… Intéressant.

Alors, cette organisation visait à de sombres desseins et étaient les responsables de cette catastrophe? Un faible « Hm. » s’échappe des lèvres de la Danseuse des Ombres alors qu’elle écrase un insecte du bout de sa chaussure. Elle écoute sans bien bouger; silencieuse jusqu’au moment où elle aperçoit une opportunité. Celle-ci vient dans la forme de sa jeune partenaire de danse qui explose en paroles balbutiées, et un ordre très colérique. Elle veut retourner à Corona. Oh, ça, ce n’est pas une bonne idée, encore moins bonne que de se retrouver devant ceux qui semblent avoir orchestré toute cette histoire.

Elle réagit alors que l’homme en rouge pointe la jeune colérique du bout de son fusil, s’en approchant à nouveau.

▬ Personne ne vous a dit qu’il est extrêmement malpoli de pointer son arme sur quelqu’un?

Tout en abaissant, doucement, le fusil pointé sur la pauvre jeune femme. Et alors qu’elle parle, sa main glisse contre le canon, monte jusqu’à la poignée.

▬ Ne vous en déplaise, très cher, nous avons été invitées en ces lieux.

À la fin de sa phrase, son visage est à quelques décimètres du sien; elle lui lance un regard langoureux, un sourire charmeur ornant ses lèvres.

▬ Mais vous semblez être un homme raisonnable et intelligent; certainement trouverez-vous une utilité à nous, pauvres… « Victimes collatérales ».

Elle lève un sourcil alors qu’elle dit le dernier mot, la dernière syllabe coulant mielleusement sur sa langue. Essayons d’appeler à son égo ; il semble en avoir un bien plus surdimensionné que ses muscles.

Ven 6 Mar - 16:36

Bienvenue au Dark Council

Alors que je continuais d'observer le géant et Aisling, je reculai de nouveau de quelque pas. Chacun sur la défensive, leur conversation était tout sauf cordiale. Je me rapprochai de la jeune fille qui nous avait accompagnées, espérant quelque chose, n'importe quoi. Mais que cette situation pesante cesse !

…

Je ne pensais pas que quelque chose se passerait vraiment.

Un sac entra soudainement, tapant le dos dans le géant qui sursauta et me sembla ébranlé l'espace de quelques secondes. Mais ce n'était pas n'importe quel sac ! Déjà parce que c'est compliqué de rencontrer un sac bourré d'insectes qui marche et parle, ensuite parce que je le connaissais.

A peine Oogie avait-il demandé au géant ce que nous faisions là qu'il n'attendit pas sa réponse – bien qu'il l'ait donnée, dénonçant Thanatos du doigt - et les bouscula, lui et Aisling, pour venir jusqu'à mon niveau… Et se moquer de ma taille.

▬ … Je ne suis pas si petite ! C'est vous qui êtes tous grands !

Je n'allais quand même pas avouer que oui, je n'étais pas grande ! Mais maintenant que je pouvais grandir normalement, ça n'allait pas durer. … Je n'allais pas rester une naine quand même ?…

A peine avais-je finis ma phrase qu'il me pris dans ses bras, nous faisant tournoyer tout les deux, avant de me lancer en l'air – aaaaaaah ! - et de me rattraper. Il était heureux. Je crois. Mon bras moins.

Ça ne m'empêcha pas de rire de bon cœur.

Me tenant toujours dans ses bras, il redemanda alors qui étaient « ces femelles », ce qui rendit Aisling inconfortable – pire, il semblait l'agacer, elle pourtant si calme – tandis que le géant se posait la même question. … Au moins ils ne se toisaient plus ?

Tout ce remue-ménage réveilla Thanatos en sursaut. Tout droit sorti d'un rêve, il commença une phrase incompréhensive avant de reconnaître ceux qui venaient d'arriver. A peine avait-il vu Oogie qu'il nous rejoignit, se frottant à ses « jambes », en ronronnant. Il expliqua donc la situation en une tirade, faisant un écart sur les chattes qu'il préférait, ce qui donna une expression bizarre à certains. Pourtant, il ne parlait que de ses préférences en chats… Bon, pour faire des bébés, mais…

Le géant en explosa, et devint aussi rouge que sa veste. Il cria sur le chat, grondant comme le tonnerre, critiquant sa conduite, l'accabla de milles reproches… Pourtant, Thanatos réagit… Étrangement bien. Il l'invita même à venir prendre le thé ! … Comment faisait-il.

Même cet homme pourtant si imposant en resta bouche-bée, incapable de répliquer autre chose qu'un « je me fiche des sans-cœur... » - pour ne pas perdre la face ? - avant de s'essuyer les pieds et d'entrer.

… Une seconde. Je repensais à sa phrase précédente.

… Plan ? Il s'agissait du Dark Council mais… Ils n'avaient pas… N'est-ce pas ? … Pas les sans-cœur pitié. Sans m'en rendre compte, je m'étais resserrée contre Oogie et Thanatos. Et puis la voix de la fille dont je ne connaissais toujours pas le nom me sortie de mes pensées.

Elle était en colère, s'exprimait en balbutiements rapides, disait vouloir retourner à Corona. J'en sentais mon cœur se serrer. Je ne pensais pas les souvenirs de mon arrivée à Radiant Garden si… Proches. Je me détachais des deux autres, voulant essayer de lui répondre, mais ce fût le géant qui le fit, la menaçant de son arme. Aisling le stoppa, sa main suivit son arme, elle se rapprocha et… Je détournai le regard.

Trop de choses s'étaient passées en même temps. Que devais-je faire ? Demander ce qu'était leur plan ? Non… Non, le plus important, c'était calmer la fille en blanc. J'avais aussi des proches toujours là-bas mais… A quoi ça servait d'y retourner si c'était pour y finir sans avoir rien pu faire ? … J'aurai aimé me souvenir de ce qu'on m'avait dit, à moi, lorsque…

▬ Ce n'est pas une bonne idée.

Je la regardais, l'air désolée.

▬ Je sais que tu peux avoir des amis là-bas mais… Ils n'aimeraient pas que tu… Ils n'aimeraient pas.

Sam 7 Mar - 9:47

Bien, bien. Il s’en passe des choses, beaucoup trop. Des choses que monsieur le Prince des Cauchemars prend en compte à moitié ou dont il s’en fiche totalement au final. Des demoiselles chez-eux ? Boarf ! C’est pas pire que le fait qu’il a… FAIM. Monsieur le chasseur en rouge râle, et ça a réveillé Thanatos qui vient se frotter au sac en ronronnant. Oogie a un grand sourire, fier, et tapote gentiment la tête du félin avec sa main de libre, tenant toujours bien Agnès contre lui, écoutant ce qu’avait à dire le matou. Aaaaah, oui, Corona. Il a vu ça et il ne veut plus en entendre parler. La seule chose intéressante dans ce qu’il dit, c’est sa façon de se reproduire avec les chattes. Génial, Oogie n’en savait rien et maintenant il le sait. Il se met alors à glousser avant d’entendre Gaston râler encore une fois et le sac d’insectes ne put s’empêcher d’intervenir, plus pour défendre Thanatos qu’autre chose.

“Tu parles bien de ta poulette des fois et on ne dit rien, laisse le donc parler de ses chattes !”

En parlant de chats, il y a le minou qui a remarqué qu’Oogie tenait Agnès contre lui et lui demande si c’est son amie tout en parlant de thé. Huh. Pour le coup, le monsieur n’avait pas une idée de quoi lui répondre, même pas de blague, rien.

“Je suis...Un ami, un tuteur, qu’importe ! “

Et le premier qui critique, il le mange.

“Et va pour le thé, même si j’ai plus les crocs que soif.”

Puis là, une drôle de fille crie d’un coup, et Oogie, la seule chose qu’il trouve à faire, c’est lâché un faux cri, également, avant de faussement trembler en se dandinant sur place puis se penche vers elle, relâchant Agnès.

“Dis donc poulette, tu m’as flanqué une de ces frousses ! Excuse-toi maintenant, sinon je te mange.”

Puis il éclate d’un rire en marmonnant un “je plaisante” avant de regarder Gaston et la femme à cornes qui fait… des choses d’humains, probablement, ça doit être ça. Oogie Boogie retourne auprès d’Agnès, mains sur ses hanches, puis lance un regard à Gaston.

“Franchement, monsieur gros tas de chair, tu devrais cesser de crier sur les autres ou tu auras des cheveux blancs ! Au lieu de ça… amusons-nouuuuus ! On est largement beaucoup pour jouer au poker ! Et ceux qui veulent retourner à Corona, impossible, sauf si vous voulez mourir comme probablement des tas de gens qui ont été là bas ! Un vrai champs de guerre !”

Dim 8 Mar - 12:00

Thanatos n’aimait pas trop l’ambiance que ça prenait. Vous savez, c’est un chaton sensible. Quand les gens se fritent autour de lui, il le supporte très mal. Gaston venait de l’engueuler et il avait failli aller se cacher derrière Oogie Boogie tel un animal effrayé mais il ne l’avait pas fait. Pendant qu’on prenait sa défense, qu’une des inconnues était en train de péter un câble et que l’autre agissait froidement, il remarqua surtout le plâtre de la petite Agnès et en oublia tout ce qu’il se passait pour se concentrer dessus. Il se rapprocha alors de la jeune fille en sortant du laboratoire.

- … tu t’es fais mal comment ? demanda t-il en se penchant vers elle pour constater les dégâts et ni une ni deux, il entraîna Agnès en direction de son laboratoire personnel, adjacent à cette pièce pleine de coussins, en la prenant délicatement dans ses bras ; non, avec son ami le sac d’insectes, elle toucherait très peu terre finalement.

Le laboratoire était assez cosy. On pourrait presque y dormir dedans si ce n’était pas celui d’un chaton médecin expérimentant divers breuvages et médicaments qu’il valait mieux ne pas toucher ; enfin, c’était d’un bon sens commun. Il déposa Agnès dans un grand et moelleux coussin dans lequel il était facile de s’enfoncer – et de s’endormir – pour commencer à fouiller dans son coin pharmacie avant de relever la tête.

- … Ah oui, le thé. Il arrêta l’eau, y versa une préparation dedans et déposa la théière sur la table, pour les invités. Une délicieuse odeur de rose et de bergamote s’en dégageait. Il sortit aussi les gâteaux de leur boîte ; des sortes de sablés à la fleur d’oranger, sûrement faits par Jafar. Ensuite, il observa la jeune femme quelque peu agaçante de tout à l’heure et lui sourit.

- J’ai de la camomille si vous voulez, ça vous fera du bien ! Je vous ramènerai dans quelques minutes quand tous les autres seront revenus ; ça voudra dire que Corona sera de nouveau plus sûre !… normalement.

Et sans attendre sa réponse, il s’engouffra à nouveau dans son laboratoire pour chercher de quoi améliorer le souci du plâtre de la petite Agnès.

Dim 8 Mar - 17:06

Encore une fois, tout se suit, tout s’enchaîne, sans qu'elle ne se sente capable d'agir comme elle l'espérait. Elle qui était déjà sacrément remontée, voilà qu'il y a l'autre bourru qui la pousse de son fusil. Parfait, nan mais parfait hein, pas besoin de rajouter de l'huile sur le feu. Il n'a fait qu'envenimer la boule d'émotions qui boue en elle. Son ex-partenaire de danse cornue vient tenter de calmer la situation mais, franchement, Djehuty a pratiquement atteinte sa limite. Elle peut pas rester là, pas maintenant, pas tant qu'elle n'est pas certaine que personne qu'elle ne connait soit à l'abris. Elle ne PEUT PAS, ne DOIS PAS rester passive alors que, si ça se trouve, Akusei est entrain de se faire massacrer par des heartless. Putain si ça se trouve, il y a même son amie indienne là-bas, avec sa malchance. La petite voit une veine gonfler sur son front, les poings se serrent, les bras se plient et se contractent. Ça va exploser elle le sent.

Seulement, il y a la toute petite du RGPC, qui lui adresse la parole. Elle a un ton, des mots, des pensées auquel elle s'identifie beaucoup trop. Elle a raison... Ça vient rajouter un gout bien différent à sa colère, sa peur et ses remords. Le gout d'une tristesse amère. La toute petite a sûrement déjà vécu ce qu'a vécu Djehuty. ...Mais le vivre une fois c'est une chose, devoir le subir pour la troisième fois... Elle baisse la tête, les yeux humides et les lèvres qui se déforment en grimace.

J-j-j-... Même un "je" elle n'y arrive pas. Pour changer.

Et puis, le roux qui l'a emporté, qui revient. Le roux bizarre qui vient rajouter une toute dernière goutte dans le vase. La seule fois qu'elle parle, on la rabaisse ou on lui fait la morale le temps d'une phrase avant de s'en aller à d'autres besognes, comme si rien "c'était pas si grave". Elle le voit lui là, avec son sourire d'abruti attardé à lui parler de camomille, de la laisser partir quand il sera trop tard. A part la toute petite fille, tout le monde a l'air si, indifférent. Ce qui était entrain de bouillir vient de remonter, et ça là, c'était la goutte qui vient déborder le vase. La grimace attristée se transforme, disparaît alors qu'elle s'efforce de grincer le dents, tout ça pour laisser place à un visage enragé, larmes aux yeux. L'air commence à se condenser et à tournoyer tout autour d'elle, de plus en plus vite, de plus en plus violemment. Et, un puissant sursaut de colère, dans un cri strident, elle craque.

VOS GUEULES !!!

Dans son cri, le vent explose en onde de choc, frappant toute la pièce comme une puissante bourrasque.

Et maintenant, elle s'agrippe la tête avec ses deux mains, serrant fort, presque trop fort. Son corps entier tremble comme pas possible et les larmes commencent à couler. Elle serre encore les dents, avec une respiration forte et irrégulière; tout ça pour pas éclater en sanglots. Elle préfère maintenir les braises de sa colère plutôt que s'effondrer en pleurs comme à chaque fois qu'elle est à bout.

Lun 9 Mar - 8:32

A quoi jouait cette gourgandine ?

Gaston toisa du regard la femme qu’il avait envoyé balader plus tôt. Décidemment, elle revenait à la charge et n’en avait pas eu assez il semblerait. Elle essayait de faire quoi ? De l’amadouer ? Gaston était au travail, pas à son bar, et encore vu ses cornes… Elle partait avec un sacré désavantage pour le séduire.

Restant figé, même à quelques centimètres du visage de la jeune femme. Il finit par simplement soupirer et s’écarter sèchement d’elle, pour tourner la tête vers Oogie (il y avait bien l’enfant qui semblait essayer de calmer l’autre qui venait de crier, mais Gaston ne prêta pas attention aux deux).

« Franchement, monsieur gros tas de chair, tu devrais cesser de crier sur les autres ou tu auras des cheveux blancs ! Au lieu de ça… amusons-nouuuuus ! On est largement beaucoup pour jouer au poker ! Et ceux qui veulent retourner à Corona, impossible, sauf si vous voulez mourir comme probablement des tas de gens qui ont été là-bas ! Un vrai champ de guerre ! »

Et voilà le chat-médecin qui faisait Dieu-sait-quoi avec l’enfant, décidemment ils avaient tous un truc avec cette petite. Soigner nos ennemis ? N'importe quoi.

Etait-il le seul homme sérieux ici ? (Objectivement oui, l'un était un sac, l'autre un chat) Cette affaire ne devrait pas être réglée autour d’un thé, mais dans un cachot tout simplement. Mais tant pis, tout semblait être contre lui, il allait devoir ronger son frein.

« Je dois rêver… »

C’était susurrer entre ces dents… Puis un soudain cri lui provoqua un nouveau sursaut, mais ce cri était bien plus puissant que le dernier. C'était comme une brusque bourrasque, qui secoua fortement lui mais ses alliés également. Ah, il avait presque oublié l’autre hystérique. Gaston se retourna lentement, avec un profond soupir qui était visible jusque dans sa gorge et qui descendit jusqu'à sa poitrine : comme si trois femmes n’étaient pas suffisantes, il y avait une folle dans le lot. Malgré tout, un éclair de lucidité le saisit : inutile de crier plus fort qu’elle, cela va juste envenimer la situation. Et clairement, Gaston n'était pas dans la même posture populaire que dans son village (lui, en un claquement de doigts, cela aurait été réglé : cachot, bûcher, feu, cramée, fin.).

Gaston gronda et fit quelques pas en avant, s’éloignant des deux femmes pour aller plutôt aux côtés d’Oogie.

« Thé…Poker… Faites ce que vous voulez, ce n’est pas mon problème. Par contre, j’en parlerai aux autres. Il faut définitivement qu’on se mette d’accord sur notre manière de fonctionner. »

Il jeta un regard en arrière vers les « invitées ».

« Ce n’est… Pas au point. »

Gaston passa finalement à côté des femmes pour aller vers la porte de sortie des appartements de Thanatos.

« Je serai dans le couloir, si vous avez un problème. J’attends les autres. »

Et il claqua la porte derrière lui : oui, Gaston a toujours été un personnage sympathique et patient.

Lun 9 Mar - 23:55

Bienvenue au Dark Council

« Into the Underworld we go. »

Ça n’a pas réellement la réaction escomptée. Elle le voit dans le regard de l’homme, qui la fixe comme si elle venait d’un tout autre monde. Il n’aurait pas tort. Et alors qu’il soupire et se retire, sèchement, Aisling lève les sourcils. Bon. Elle aura essayé – au moins, ça aura permis de faire en sorte qu’une situation qui aurait pu être désagréable le soit encore moins.

Quoiqu’il en soit, la curiosité de la Dame est piquée, et si elle ne peut pas avoir de réponses de la part du grand gaillard, elle l’obtiendra ailleurs, et par d’autres moyens – d’autres dans ce groupe semblent beaucoup plus bavards que l’homme en rouge.

Notamment celui qui se prend pour un chat, qui semble être parti dans une autre salle en traînant Agnès. Et alors, la Danseuse des Ombres attend, patiemment, tout en observant ce qui se produit ; entre le sac qui parle de jouer à des jeux, l’homme-chat qui revient avec la petite et le thé et, finalement, sa partenaire de danse qui explose – littéralement, dans une vague d’air qui lui coupe le souffle et lui révèle qu’elle est, en effet, bien plus qu’elle ne semblait l’être au départ – elle ne sait plus trop où donner la tête.

Elle s’approche donc de la pauvre jeune femme, posant une main rassurante sur son épaule.

▬ Je vous en prie, venez vous asseoir – crier ne règlera en rien la situation. Le thé, par contre, pourrait bien faire l’affaire.

Alors elle s’avance vers la table où ont été déposés théière et tasses, tout en poussant délicatement la jeune femme avec elle. Elle sait bien que la situation ne se règlera pas aussi facilement, mais maintenant qu’un des éléments perturbateurs vient de quitter la pièce – en la claquant, très bruyamment – peut-être pourront-ils retrouver ne serait-ce qu’un soupçon de paix.

Si le sac veut bien se calmer, lui aussi.

▬ Pourrais-je avoir, s’il vous plaît, savoir en quoi consiste cette… Organisation sur laquelle nous sommes malencontreusement tombées?

Ces deux-là ont l’air assez honnêtes – ou assez bêtes – pour le dire d’un seul coup, sans même réfléchir.

Mar 10 Mar - 17:00

Bienvenue au Dark Council;

Mes paroles semblaient être tombées juste. La jeune fille grimaçait, tentant de répondre sans le pouvoir. Et je voulais intervenir, la prendre dans mes bras – dans une situation pareille, c'est ce dont j'aurai eu besoin après tout – même un petit geste aurait suffit.

Je m'approchais timidement lorsque Thanatos revint de la pièce de derrière. Remarquant mon plâtre, il m'interrogea sur la façon dont je m'étais blessée.

▬ Heeem…

« Une sorcière s'est transformée en immense dragon et m'a envoyée dans un mur ! » … Non, mauvaise idée. Déjà parce que certains membres du Dark Council y avaient été, à ce combat – enfin j'avais surtout vu le génie rouge, si gigantesque qu'il était difficile de le louper – ensuite parce que dite à voix haute, la phrase semblait irréelle. Et j'étais tombée en premier. Sans avoir rien pu faire…

De toute façon, il ne me laissa pas plus de temps pour m'expliquer, et me traîna vers son laboratoire, malgré mes vagues protestations.

… Qu'est-ce qu'ils avaient tous à me porter ? Je savais marcher !

Finalement, le chat me posa dans un coussin, avant de repartir s'occuper du thé, et de retourner voir les autres, tandis que je le regardais faire, pleine d'incompréhension.

Je me levai du coussin tout en continuant d'écouter la conversation. Et alors que je m'apprêtais à retourner dans la pièce adjacente, me cachai d'un coup derrière le mur qui m'en séparait. Ainsi avais-je évité de justesse la bourrasque engendré par le cri de la fille de tout à l'heure. En réaction, le géant quitta la pièce, claquant la porte derrière lui.

Je sortis doucement la tête de derrière le mur. Le vent s'était calmé, mais pas celle qui l'avait engendré. C'était Aisling à présent qui s'occupait d'elle. Je m'approchai, mais ne sachant plus quoi lui dire, je lui pris simplement la main, tentant un sourire rassurent – s'il l'était, je l'ignorais. Mais je l'espérais sincèrement.

Et puis la dame demanda ce qu'était le Dark Council.

▬ … Oups…

Je m'abstins de répondre. Je n'avais aucun problème avec le fait de m'entendre avec deux de ses membres. Si on apprenait que je l'étais tout en le sachant par contre…

Sam 14 Mar - 19:59

Le chaton médecin revint dans la pièce qui lui servait de chambre ou de salon selon les moments. Les coussins avaient volés dans tous les sens et certains étaient sales de poussière venant sûrement du couloir, car il en prenait toujours grand soin et faisaiit fréquemment le ménage ici. Il vit rouge mais se retint de feuler après la fille qui venait de balancer une bourrasque. Déjà parce qu’il n’avait pas envie de se battre mais surtout parce qu’il n’avait pas envie de faire peur à la petite Agnès. Vous n’imaginez pas à quel point il aurait peur de la décevoir. Elle ou Boogie. Parce que le sac d’insectes, il l’aimait bien aussi. Il avait son caractère mais il savait être adorable. Malgré ses étranges caractéristiques, il était très paternel avec les trois gamins qui courraient toujours partout et il était sympathique. Et Thanatos aimait bien faire la sieste sur son ventre des fois. C’était marrant avec les insectes qui bougeaient sous le tissu. Normalement, il devrait en être dégoûté mais… du moment qu’ils n’allaient pas dans sa nourriture. De toute façon, ils évitaient : sinon, ils finissaient cramés. Et le chaton n’avait pas envie de griller un pauvre petit insecte innocent.
Thanatos observa toute la scène depuis le départ de Gaston. Il soupira intérieurement et rentra à nouveau dans son laboratoire.

- Eurêka ! Jeune Agnès, ce plâtre sera bientôt du passé ! Approche donc, je vais te l’enlever, mettre ce baume réparateur et faire un bandage tout beau tout propre et dans quelques jours, pouf, plus rien !

Il se désintéressait totalement de ce qu’il se passait à côté. Il y avait plus urgent : le plâtre d’Agnès.

Sam 14 Mar - 20:13

Jafar prit une profonde inspiration pour ne pas s’énerver. Ce n’était décidément pas bon pour sa tension et il entendait déjà le perroquet lui faire une réflexion à ce sujet… et il réalisa que Iago n’avait jamais été là. Encore. Il finirait par s’y habituer. Il finirait par faire comme si rien ne s’était jamais passé.
Tout s’était bien déroulé : l’attaque avait été bienvenue. Elle avait été amusante et avait refait sa journée. Il avait détesté les élans de joie qu’il avait pu voir aux alentours, tout cela pour une fête quelconque. Enfin, techniquement. Mais ce n’était pas le sujet. De loin, il avait vu le juge donner de l’avance à un trio alors qu’il aurait pu les éliminer de suite. Cela l’avait… déçu. Il lui en reparlerait. Il était hors de question de se ramollir. Pas lui. Mais en attendant, son plus gros problème demeurait ce putain de chaton. Il l’avait vu s’enfuir du champ de bataille avec trois autres personnes. Qu’il fuit lui semblait normal ; il était leur médecin et avait encore un peu de mal avec les Sans-Coeurs ; être blessé aurait été néfaste pour eux. Par contre, emporter dans sa course trois inconnues était pour le moins étonnant. Des connaissances ? Jafar soupira. Il les avait sans doute amenées au QG. Il allait devoir leur effacer la mémoire. Ou pire. Non, il effacerait leur mémoire. Thanatos serait capable de faire la tête et de les trahir si jamais ils étaient amis… tss… Pourquoi le gardait-on déjà ? Ah oui. Son efficacité dans les soins.
Le sorcier se rapprocha de la pièce, croisant le chasseur sur la route. Hum… d’accord. Il devait y avoir un problème étant donné la moue de Gaston. Jafar toqua légèrement à la porte. Il y avait des éclats de voix. Il attendit. Il retoqua à la porte. Il attendit à nouveau.
…
……
………
…………
La porte s’ouvrit magiquement sur un Jafar passablement agacé. Le sorcier détailla chacun des occupants de la pièce ainsi que le bazar régnant dans celle-ci.

- Conseil de guerre, j’imagine ? ironisa t-il.

Dim 15 Mar - 7:13

Oogie Boogie ne suivait plus rien. Déjà qu’il a une attention semblable à un papillon, mais là il n’a rien vu venir. Il avait à peine entendu que Gaston lui semblait fâché, mais qu’importe. L’autre a encore hurlé, elle a même osé ignorer le grand Oogie Boogie ! En temps normal il aurait résisté, mais trop distrait, le sac finit par glisser et tomber au sol, se mettant à rouler et s’écraser contre la surface du mur. Super, ça aurait pu être mieux. Néanmoins, il se relève facilement, prêt à gronder, à menacer la petite, mais finalement son regard est attiré vers Agnès et Thanatos.

“Plâtre ?”

Cette histoire l’intriguait, il n’a pas vu que la petite avait une telle chose et il aurait pu venir la voir, seulement la porte à coté de lui s’ouvre, dévoilant ainsi Jafar, et le Prince des Cauchemars ne put s’empêcher de cacher son enthousiasme en le voyant, se rapprochant du sorcier.

“Te voilà mon poooote !T’as une sacrée mine dis-moi !”

Une fois à ses côtés, il lui donne des petits coups de coude amical, ricanant.

“Ne fait pas attention à ces clowns, ils sont là pour nous divertir tu vois.” Puis il passe son bras autour des épaules du sorcier, tout souriant. “Un petit café, ça te dit ?”

Lun 16 Mar - 5:07

Tête baissée, elle continue de trembler, de se retenir de sangloter. Trop de pensées, trop de stress d'un seul coup. Elle avait encore de l'énergie mais, son explosion l'a comme épuisée, mise à bout. Elle se moque du thé mais... Et l'autre fille de tout à l'heure qui arrive, pour lui prendre la main. Djehuty se tourne légèrement vers elle, retenant ses grimaces. Sans dire mot, elle hoche la tête, se laissant guider par la dame aux cornes. Elle s'installe, en silence, les mains posées sur ses genoux. La respiration saccadée se stabilise, lentement, mais sûrement. Elle tremble toujours et ne s'arrêtera sûrement pas. Elle inspire longuement avant d'expirer tout aussi longtemps. C'est une technique qu'on lui apprise pour gérer le stress. Il faut juste, qu'elle ne pense pas à la personne qui lui a enseigné cela, ni à ce qui se passe en ce moment à Corona. Elle ne doit pas craquer, c'est à cause de ça qu'elle échouait à chaque fois.

Ignorant tout ce qui s'est passé et ce qu'il se passe encore, elle commence enfin à se reprendre. Finalement, elle relève la tête, pose ses yeux sur les deux femmes avec elle et, timidement, lance un-

M-m-m-merc- Les portes s'ouvrent à nouveau. Ses yeux surpris regardent le nouveau venu et...

Oh non.

D'un coup, Djehuty baisse la tête, le visage rouge. Ses yeux fuyant à droite à gauche puis en bas à grande vitesse. Elles sont dans la merde, tellement, tellement dans la merde. La djinn se met à serrer légèrement son emprise sur la main de celle aux yeux jaunis. Non pas qu'elle ait besoin d'un soutien, mais plutôt...si jamais il faudrait s'enfuir à nouveau. De toute les situations dans laquelle elle a pu se retrouver, c'est sans aucun doute l'une des plus improbables.

Jeu 19 Mar - 13:03

Bienvenue au Dark Council

« Into the Underworld we go. »

La première à réagir après le commentaire d’Aisling fut Agnès. Elle semblait en connaître bien plus sur ce qui se passait que ce qu’elle voulait laisser paraitre. La Dame n’a aucun mal à le voir dans son visage. Elle hausse un sourcil, mais s’abstient, elle aussi, de dire quoi que ce soit. Surtout que l’homme-chat s’occupait déjà d’elle.

Sa jeune partenaire de danse tente alors de la remercier après s’être calmée, au même moment où la porte s’ouvre à nouveau sur une figure qu’Aisling reconnait tout de suite.

Intéressant.

Elle ne s’attendait pas à tomber sur lui, mais, d’une manière, elle n’est pas surprise.

Quelle fortuite coïncidence.

Mais elle n’a pas le temps de bien l’aborder, c’est le sac qui se lève et qui va à sa rencontre, bien bruyant, totalement agaçant.

Agnès tient la main de sa partenaire de danse, qui, elle, a baissé le regard, embarrassée, mais surtout foudroyée par une certaine panique. Elle serre doucement son épaule et lui offre un regard rassurant, retournant son regard sur le nouvel arrivant ; elle le salue d’un mouvement de tête poli, avant d’attendre – la patience lui offrira certainement des réponses où le reste a échoué.

Jeu 19 Mar - 18:09

Bienvenue au Dark Council;

Aisling sembla remarquer que je cachais quelque chose, elle me regardait bizarrement. Je détournai nerveusement le regard, m'attendant à ce qu'elle fasse une quelconque remarque, mais la voix de Thanatos qui m'appelait empêcha toute discussion.

▬ Oh, euh, j'arrive !

M'exclamai-je, me tournant légèrement. Mon regard revint ensuite vers la jeune fille, dont je tenais toujours la main. Elle commençait à nous remercier – Aisling et moi – alors je lui souris… Jusqu'à ce que la porte s'ouvre de nouveau d'un coup ! (c'est à dire… Pas très longtemps) Ce devait être le géant rouge qui était revenu, à cause de tout ce bruit que nous faisions. … Sauf que l'homme qui était à l'entrée de la pièce ne lui ressemblait pas du tout.

Il était grand, mais peut-être un peu plus petit que celui qui était sorti, et portait de long vêtements amples, comme une robe. Il avait aussi un turban sur la tête, ainsi qu'une barbiche, qui prolongeait son visage déjà très allongé.

C'était étrange à voir. Mais je n'eus pas le temps de m'y attarder, trop intimidée par sa présence. Je sentis d'ailleurs la main de la fille en blanc se resserrer sur la mienne. Elle n'était pas très rassurée non-plus…

Heureusement(?) Oogie vint nous défendre. Enfin, « défendre » était un bien grand mot. Je crois qu'il était plus préoccupé par la nouvelle idée qui lui était venue que par…

▬ Hé ! On n'est pas…

Ce n'était peut-être pas le meilleur moment pour répliquer. Qu'on nous qualifie de « clowns » ne me plaisaient pas du tout, mais je n'étais pas sûre que crier en présence de celui qui ressemblait à un sorcier soit une bonne idée.

Je me retins donc d'ajouter quoi que ce soit.

Sam 21 Mar - 21:35

Non, Thanatos sera trop occupé à s’occuper de la blessure d’Agnès, donc il passe son tour. Mais Jafar ne va pas le passer, lui. Et Jafar est passablement agacé. Parce qu’il est en train de voir des choses déplaisantes. En-dehors de cette pièce mal rangée vu le bazar foutu par la demoiselle qui pourrait rivaliser avec Sindel et la saleté des bottes du chasseur à l’entrée, il y avait donc trois étrangères. Enfin, deux mais il n’a pas encore capté. Jafar est mécontent. Alors quand Oogie débarque pour lui proposer de boire quelque chose, il explose un peu. On est PAS dans un putain de salon de thé !
Son côté génie rouge ressortit subrepticement, l’espace de quelques secondes. Il était presque en train d’exploser. De rage, hein, pas exploser tout court ; il a déjà assez donné.

- ET JE LE BOIRAI DANS LE CRÂNE ENCORE FUMANT DE MES ENNEMIS AVEC LEURS LARMES ET LEUR S… du café dis-tu ? Ah mais avec plaisir ! Sans sucre.

… il vient de se passer quoi là ?!

Jafar avisa la table dressée et s’y assit, invitant tout ce beau monde à venir prendre le thé/café. Bon en fait, il fit apparaître une cafetière étant donné que Thanatos n’avait préparé que du thé. Non mais TOUT ALLAIT BIEN. Tout ne se barre pas du tout en steak.

Pendant ce temps-ci, dans son laboratoire, le chaton s’était recroquevillé au fond d’un coussin, effrayé.

Ven 3 Avr - 15:17

Beaucoup trop de choses pour si peu. Ce qui se passe en ce moment ne l’intéresse plus, concentré sur Jafar. D’ailleurs, lorsque ce dernier explose de rage, le boogeyman ne put s’empêcher de faire mine d’être effrayé avant de ricaner, serrant un peu plus son emprise sur le sorcier.

“Mais oui, mais. Tant que tu ne fais pas ça sur mes- les enfants.” Il s’est rattrapé de justesse. Il ne faut pas croire qu’il se soucie d’Am, Stram, Gram et Agnès hein. “Ceci dit, j’aurais aimé passer plus de temps avec toi, vieux frère, mais je suis un ‘homme’ chargé, vois-tu et mes insectes ont besoin de se dégourdir un peu, t’vois.”

Le prince des cauchemars lance un dernier regard vers les autres puis sur le sorcier, tout souriant, tapotant son dos.

“Ne fait pas tout péter, on se reverra une prochaine fois pour le café ~”

Et c’est en dansant qu’il commence à partir, se prenant soigneusement la porte en pleine face, n’ayant pas regardé où il allait avant de sortir officiellement. Il est temps pour lui de préparer sa spécialité aux autres sales gosses.

Mais qui dit il est réellement parti et pas en train de vous guetter depuis votre ombre ?

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