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Agrabah lui appartiendra...
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Jafar
Black Mage
Jafar
Agrabah lui appartiendra... 1538328554-jafar Messages : 70
Munny : 249
Date d'inscription : 30/09/2018
Dim 14 Oct - 13:22
Nom du personnage.
}


FORCE
☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆
DEXTÉRITÉ
★★☆☆☆☆☆☆☆☆
CONSTITUTION
☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆
INTELLIGENCE
★★★★★★★★★★
SAGESSE
★★★★★★☆☆☆☆
CHARISME
★★★★★★★☆☆☆
Nom : Ajam

Prénom : Irfan « Jafar »

Âge : Quarante-deux ans

Groupe : Dark Council.

Classe : Mage ; sous-classe : Mage Noir.

Type d'arme : Bâton (avec la magie)

{
Type préféré de combat.

Jafar ne sait pas se battre au sens physique du terme et préférera user de la ruse et de la magie afin de venir à bout de ses adversaires. S’il s’avère qu’il soit toutefois obligé de réellement combattre, notez qu’il sait tout de même se servir de son bâton. Celui-ci ne lui servira surtout qu’à maintenir le plus possible une personne à distance le temps de trouver une solution et de fuir, bien qu’il soit très mauvais en défense. S’il est relativement efficace en attaque, cela provient surtout de ses connaissances théoriques sur le sujet; il sait où viser pour faire mal. Malgré tout, il ne peut toujours pas tuer qui que ce soit, bien qu’il puisse causer de lourds dommages de manière indirecte. Devenir un génie l’a rendu un peu plus résistant et rapide; mais certains réflexes ne sont toujours pas au rendez-vous. Et vu son âge, comparé au jeune Sora, on ne parlera juste pas de son agilité inexistante.

{
Habiletés spéciales.

C'est juste et le sorcier le plus puissant de son monde et un génie plus puissant que le Génie libéré de sa lampe, donc sans les contraintes liées à l'asservissement des génies.
{
Caractère.

De prime abord, Jafar peut sembler être sympathique tant il sait se montrer charismatique et aimable. Il est vrai qu’il sait bien parler mais il demeure, en vérité, une personne fort peu fréquentable; manipulateur, égoïste et s’avérant capable d’une grande cruauté, il ne semble pas non plus capable de véritables remords. Très ambitieux et ne pensant qu’à sa propre personne, la sécurité et le bien-être des autres lui importent peu à moins que cela ne lui permette d’atteindre ses objectifs; il se pense plus légitime que le Sultan concernant la gouvernance d’Agrabah et est prêt à tout pour y parvenir ; il ne peut supporter de n’être qu’à la deuxième place. Sa colère éclate de manière tonitruante lorsqu’il n’obtient pas ce qu’il veut et cela le rend assez dangereux, il est ainsi capable de faire du mal même à ceux qu’il peut sembler apprécier; n’est-ce pas Iago ? Il ne voit les autres que comme des instruments et non comme des personnes. Ces faits font de lui un sociopathe à proprement parler. Méfiez-vous si ce personnage commence à vous montrer de l’intérêt, ceci ne peut que vite tourner au vinaigre !
Il ne supporte pas l’imbécilité des autres, ou du moins ce qu’il considère, lui, comme étant de l’imbécilité; bien qu’il ait tendance à reprocher ses échecs aux autres. Il ne sera jamais la cause initiale de ses problèmes, dans sa tête. Il est actuellement obsédé par l’acquisition de connaissances et de puissance, car cela lui permettra de prendre sa revanche sur ses ennemis de toujours et la prise de pouvoir définitive à Agrabah.

Bien que Jafar soit un antagoniste au CV caractériel bien rempli en termes de défauts, on peut lui trouver quelques qualités comme sa grande intelligence et son astuce qu’il utilise afin de manipuler les gens, ce qui est déjà pas très sympathique mais on fait avec ce qu’on peut… C’est aussi un homme déterminé et pragmatique, ce qui lui permet d’atteindre a minima partiellement ses buts. Jusqu’à ce qu’un certain Sora ne vienne tout démonter.

Suite à sa mort par explosion, sa résurrection par Maléfique et la tentative de celle-ci de le transformer en Sans-Cœur, il est devenu extrêmement méfiant envers tout le monde, voire presque paranoïaque; ceci ne l’empêche pas de tenter de rassembler le plus de monde possible pour le Dark Council car il sait toujours montrer bonne figure. C’est juste que lorsque personne ne regarde, il se laisse aller à ses pensées sombres et paranoïaques. Parfois, certaines sont dépressives; il ne s’est toujours pas remis de l’explosion et il est encore traumatisé par cette expérience, même s’il ne l’avouera jamais. Mine de rien, ça lui a fait mal, très mal. Et il en fait encore des cauchemars. Sa plus grande crainte est de revivre ceci à nouveau. Mais dans un monde où Aladdin, Jasmine et le Génie ne sont plus, il n’y aura pas ce problème, n’est-ce pas ?

Et sinon, en-dehors de faire l’antagoniste de service en tant qu’intrigant intriguant, qu’aime t-il faire ?
Sachez que Jafar est un grand amateur de café. Cette boisson énergisante le stimule dans ses idées de conquête du monde et chasse ses idées noires remplies d’imbécillités paranoïaques dont il est souffrant ; toutefois, ce délicieux breuvage qu’il ne saurait prendre avec du sucre - « Du sucre dans du café, quelle faute de goût ! » - cause sur lui quelques ravages à cause d’une constitution de base assez peu élevée malgré le fait qu’il soit un génie. Oui, c’est débile mais on ne peut pas avoir que des avantages. Déjà, il est accro au café, ce qui fait qu’il en boit beaucoup trop par jour, le rendant déprimé lorsqu’il est en manque de caféine et ayant des hallucinations auditives. Il entend encore Iago en train de lui faire la morale ou lui donnant des conseils sarcastiques sur son comportement ou la marche à suivre d’un plan qu’il élabore ; généralement agacé par ce traître de perroquet dont il tente d’ignorer la présence, il boit donc une nouvelle tasse même si cela ne le fait pas disparaître. Le jour où il tombera sur le vrai Iago…
Il apprécie aussi la cuisine et mettre la main à la pâte ; après tout, cela se rapproche de son autre activité préférée qu’est l’alchimie ; la cuisine lui permet toutefois de se nourrir et cela lui plaît bien, surtout quand il se débrouille pas trop mal. Sa spécialité demeure la cuisine à la tajine ; et il se débrouille mieux avec de l’agneau ou du poulet qu’avec le poisson. Au moins, il saura toujours servir à quelque chose et se reconvertir si jamais on le dégage du Dark Council. Et aucune personne du camp ennemi ne pourra dire que ce qu’il cuisine est plus dangereux que les quelques potions qu’il peut créer.

Histoire.
}

Comment résumer l’enfance de Jafar sobrement ?… oui, comme n’importe quel personnage humain à la base il a eu une vie avant de devenir le grand antagoniste que tout le monde connaît et autant commencer par le commencement. Donc… nous disions… ah oui !
Jafar est un bâtard. Alors oui, au second degré, effectivement, mais là on parle surtout du premier degré, le sens propre ; ce qui, le concernant est un peu problématique vu la société d’Agrabah. Son père, un noble quelconque, n’a jamais pu avoir d’enfant et a préféré délaisser sa femme pour ses servantes dont une finit par lui donner un garçon ; la génitrice disparut quelques temps plus tard, comme cela arrivait tant de fois, avec un peu d’argent pour repartir dans sa famille mais sans l’enfant. Jafar est donc un bâtard légitimé et d’ailleurs, ce prénom est le seul souvenir de celle qui l’a mise au monde et ne lui servit tout le long de son enfance en tant que second prénom car le premier fut Irfan, comme le décida son père. Piètre cachotier, son géniteur ne sut dissimuler longtemps les véritables origines de son seul héritier valable et l’enfant fut la risée de la cour, ce qui le motiva dès lors à un jour tous les dépasser, tandis qu’en parallèle, il demeurait seul, personne n’ayant vraiment envie de le fréquenter ; qu’à cela ne tienne, cela ne le dérangeait que très peu, finalement. Sa belle-mère fut son principal obstacle au cours de ses dozue premières années, ne supportant pas cet enfant qui n’était pas le sien. Celui-ci fut donc bien heureux d’un jour la surprendre avec un autre homme, qui n’était en rien son amant mais qu’un simple ami d’enfance venu lui rendre visite après plusieurs années d’absence ; auprès des nobles qu’il observait dans son coin sans se faire remarquer, il avait appris à truquer la vérité et à la tourner à son avantage. C’est ainsi qu’il fit simplement lapider cette femme qui n’avait aucune importance à ses yeux.
Etant donné qu’il était son seul héritier, son père faisait attention à l’éducation donnée à son fils qui, toujours déterminé à dépasser les autres enfants et les autres familles, s’était mis dans l’idée qu’il devait à tout prix faire honneur à son père et tenter d’un jour occuper une fonction quelconque. Cadi, ce serait bien déjà ; le savoir de ces gens était immense et le travail porté sur la mémoire aussi tant ils avaient les lois du royaume en tête. Et puis, un jour, le sultan le remarqua; il avait seize ans et étudiait pour un jour être cadi – ou juge, pour ceux qui préfèrent un terme équivalent. Irfan apprenait vite et s’adaptait du mieux qu’il le pouvait, contrairement aux autres et à l’époque, le sultan n’était pas complètement gâteux et pensait à la fois à son peuple mais aussi à des idées nouvelles. Il prit le jeune homme sous son aile quelques temps et celui-ci apprit ce qui lui servirait plus tard ; la géopolitique et l’économie du royaume, de manière plus approfondies en tous cas qu’avec ses précepteurs. En parallèle, Irfan apprenait dans tous les domaines que son cerveau pouvait assimiler et quand il y avait le droit ; l’alchimie, entre autre, ce qui n’était pas donné à tout le monde en terme de compréhension exacte de certaines choses semblant ésotériques à ses semblables. A vingt-et-un-an, il ne devint pas cadi comme prévu mais alchimiste à la cour. Il aurait aimé la première option car on l’aurait respecté et craint. Toutefois, puisque c’était le sultan en personne qui l’avait demandé, cela lui permettait de jouir d’une forme de crainte et de respect de la part de ceux qui l’avaient raillé autrefois. Oh oui, Irfan faisait ses expériences et arrivait parfois à soigner en faisant d’étranges breuvages mais il n’était pas médecin, ce qui ne l’empêchait d’essayer d’apprendre de ce domaine qu’il ne maîtrisera jamais complètement, du moins pas dans le but de soigner. Faire souffrir, bizarrement, il en tirait une sorte de plaisir et la compagnie d’autrui qu’il cherchait ne lui semblait être qu’une quête de la normalité aux yeux des autres ; il avait découvert qu’il ne s’attachait que rarement aux gens et n’y parvenait que le temps où il y trouvait un intérêt particulier pour un objectif quelconque ou une profonde curiosité, ensuite il s’en délaissait. Il n’a jamais compris pourquoi et ne cherchera sans doute jamais à le comprendre, même aujourd’hui, il ne cherche aucune réponse à ce sujet et a fini par s’accepter tel qu’il est sur ce point.
Son intérêt pour l’alchimie lui causa quelques soucis malgré la décision du sultan, notamment avec son propre père. Irfan jugea qu’il était maintenant capable de voler de ses propres ailes et songea à se débarrasser du problème. Ce pourquoi il vaut mieux ne jamais demander une potion de soin à ce personnage, c’est à cause de son goût prononcé pour la fabrication de quelque poison, à moins qu’il ne se décide à aller quérir l’aide de quelque venin végétal ou animal pour nuire à quelqu’un ; principalement le venin d’un serpent, son animal préféré au demeurant. Et son père alors, demanderez-vous sûrement, comment est-il mort ? Personne ne le sut vraiment mais un accident à table est si vite arrivé, n’est-ce pas ?
On passera sur le reste de sa vie car à part peut-être deux trois aventures amoureuses, qui se sont mal terminées puisqu’au final, il ne s’intéressait guère à ce genre de question, il n’y eut rien de notable ; passons juste à la partie où il devint finalement le grand vizir d’Agrabah à trente-sept ans. Il avait atteint son objectif et voyait maintenant tous les autres nobles se presser devant lui pour obtenir ses grâces afin qu’il intercède auprès du sultan en leur faveur. Ce pouvoir le grisa facilement et il ne s’en cachait qu’avec difficulté, effrayant la princesse, commençant à voir ce monsieur comme étant très louche. Mais à part ces détails, en soi, tout se passait bien. Irfan, qui depuis la mort de son père avait décidé de ne s’appeler que par son second prénom qu’était Jafar, faisait son travail au mieux. Toutefois, la santé mentale du sultan se dégradait en même temps que la situation d’Agrabah et il ne faisait pas grand-chose pour l’arranger. Cela était aussi grave du côté de la princesse qui refusait d’obéir à son père, concernant son mariage. Elle refusait de suivre la tradition et Jafar avait eu vent de quelques rumeurs de conflit politique en raison du tempérament de la jeune fille rudoyant ses prétendants et tenant tête à son père. Un père incapable de faire obtempérer sa propre fille. L’image d’Agrabah chutait un peu dans la tête des nobliaux voisins. Déjà que le pays s’était appauvri… un mariage apporterait une alliance sûre au royaume et lui permettrait sûrement un redressement économique futur… Et c’est là que Jafar entrevit la possibilité de prendre la place du sultan. Oui, il l’avait bien aidé mais il perdait le sens des réalités alors que lui était parfaitement lucide sur la situation. Il profita de ses connaissances pour s’amuser avec le dirigeant, l’hypnotisant pour l’obliger à penser que ses idées étaient les bonnes. Il avait juste besoin d’un peu d’aide car il ne parviendrait pas à prendre le pouvoir tout seul et surtout juste en claquant des doigts. Et ce miracle qu’il espérait finit par venir.

A t-on vraiment besoin de raconter à nouveau les événements des jeux et des films ?
On espère que non et Wikipedia est votre ami !… plus sérieusement.
Oui, il a pu réussir ses objectifs un temps grâce au Conseil de Maléfique. Il s’est bien amusé avec les Sans-Cœurs répandant le chaos à Agrabah, lui permettant d’en prendre ensuite le contrôler, mais malheureusement, la petite troupe de gentils est venue tout gâcher. Pire encore, il est devenu un génie, prisonnier de la lampe. Il se traite encore d’imbécile à ce propos mais on ne peut pas changer le passé, n’est-ce pas ?
Et là, on va parler de ce qui le traumatise toujours et le hante dans ses cauchemars : sa mort. Il a peut-être un peu exagéré pendant ce combat final mais cela en valait le coup ; bientôt, il serait débarrasser de tous ses ennuis. Hélas, ce ne fut pas le cas ! Et en plus, Iago l’a trahi… D’accord, il n’a jamais vraiment aimé qui que ce soit mais il a eu un peu d’affection pour ce perroquet… presque… Agrabah a été détruite à moitié, dommage collatéral. Quant à Jafar… il a toujours cette crainte de disparaître définitivement en mourrant… eh bien, il est mort. Parfois, il sent encore la douleur dans son corps. Un corps qui se déchire de part en part, rapidement, tout qui se dilate, se consume, explose. Suffisamment rapide pour ne pas agoniser longtemps mais bien assez pour qu’il ressente la peur et la souffrance.

Lorsqu’il se réveilla enfin, Maléfique tentait de le transformer en Sans-Cœur ; bien qu’il eut une impression de déjà-vu, il réussit à se sortir de ce mauvais pas grâce à un instinct de survie certain et quelques réflexes vite revenus. Ensuite, il put s’enfuir, ne sachant même pas où aller. Il était confus et ses pensées se bousculaient. Que se passait-il, où était-il ?
Il lui fallut plusieurs heures avant que la confusion s’amoindrisse afin qu’il y voit plus clair… et que les souvenirs le frappent de plein fouet, lui donnant la nausée et mal au coeur. Il était mort. Et donc, Maléfique l’avait ramené à la vie, peu importe comment et elle avait tenté d’en faire un Sans-Cœur.
Ses pouvoirs de génie encore présents lui permirent de se rétablir mentalement et physiquement plus rapidement. Que faire exactement, puisqu’il était de retour ? Où en étaient les autres ? Il jugea que pour éviter de devenir complètement fou, il devait s’établir des objectifs et ce qu’il fit. Se venger d’Aladdin et de Jasmine, de tous leurs amis, voilà une bonne résolution. Et gouverner Agrabah. Il n’était pas fait pour rester éternellement second ou pour observer les autres régner. Non, il devait être à la tête de ce royaume qui l’avait vu grandir. Aladdin n’est légitime que grâce à sa relation avec Jasmine qui n’est pas plus légitime que lui. Préférer un voleur à quelqu’un de son rang… Mais Jafar n’est plus à vouloir s’embarrasser d’une gamine comme elle. La détruire lentement sous le regard d’un Aladdin impuissant sera suffisant. Et jouissif. Et extrêmement divertissant.

Aujourd’hui, Jafar a assemblé le Dark Council avec les autres dirigeants de celui-ci ; tout le monde a ses objectifs mais ensemble, on réussit mieux que chacun de son côté. Leurs ennemis l’ont bien compris et il est hors-de-question de commettre un nouvel impair à ce propos. Son vrai problème concerne Maléfique car il ne sait pas du tout comment agir avec elle ; il se méfie encore plus fortement d’elle. Il en est même devenu paranoïaque, ce qu’il ne dira jamais ; ses ennemis sont partout et sont nombreux de toute façon, n’est-ce pas ?
 
{
Particularités.

Le corps humain de Jafar porte quelques stigmates de son horrible décès sous la forme de douleurs diverses et variées en plusieurs endroits, sauf qu’il s’agit en réalité d’une douleur fantôme. Sous sa forme de génie, il ne ressent rien mais il a une peur rouge (aha) de la reprendre car il craint d’exploser à nouveau ; ceci étant entièrement psychologique, il ne craint techniquement rien à la prendre de temps en temps. A part si ses ennemis de toujours sont là.
Victime d’hallucinations auditives où il entend Iago lui faire la morale, il n’est pas rare qu’il s’irrite alors et commence à utiliser des rayons de magie pour faire taire cet oiseau de malheur qu’il entend constamment dans son dos. Sauf qu’il n’est pas réellement là et ce qu’il touche avec les rayons peut entraîner une réaction en chaîne le blessant plus ou moins grièvement.
Il souffre également de divers maux de tête et d’insomnies. Mais un génie a t-il vraiment besoin de dormir ?
Hors-jeu. }Akuma pour vous servir, demoiselle de vingt-deux ans et future institutrice qui ne trouve rien de mieux à donner comme exemples aux enfants que des antagonistes qu’elle joue sur des forums rps ! Yeah !
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Wayfinder
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Wayfinder
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Date d'inscription : 20/06/2016
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Lun 22 Oct - 12:46
Validation!
}



{ Petit mot.
Merveilleux à quel point tu as développé ce personnage pour lui donner un côté plus humain, moins "je suis seulement l'antagoniste nyah nyah" ! J'adore. J'admire. Superbe Jafar que nous avons. ♥️♥️

Statistiques. }

  • Rang : Expert.
  • Points de vie : 200 PV.
  • Attaque : 16.
  • Attaque critique : 20.
  • Magie : 26.
  • Sort critique : 38.
  • Défense : 7.
  • Soin : 18.
  • Curaga : 20.

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