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that girl is a problem ▬ Debby
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Debby
Nouvelle Recrue
Debby
that girl is a problem ▬ Debby  Tenor Messages : 5
Munny : 30
Date d'inscription : 23/12/2019
Lun 23 Déc - 9:31
Debby.
}


FORCE
☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆
DEXTÉRITÉ
★★★★★★☆☆☆☆
CONSTITUTION
☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆
INTELLIGENCE
★★★★☆☆☆☆☆☆
SAGESSE
★★★★★★★★☆☆
CHARISME
★★★★★★★★★☆
Prénom : Debby, elle se présentera sous le nom de Debby.

Âge : Corps mature, beauté éternelle, Debby n’a pas d’âge, hormis celui de son physique, à peine la trentaine.

Groupe : Harbingers of Darkness.

Classe : Danseuse.

Type d'arme : Son corps est son arme la plus redoutable.

{
Type préféré de combat.

Debby n’est pas vraiment une « combattante » à proprement parlé, elle sait par contre bien s’entourer. Toujours en arrière-plan plutôt qu’au front, ses alliés sont ses larbins, mais aussi ses soldats. Elle n’attaque jamais directement, ce qui ne l’empêche pas de nuire à ses ennemis, en encourageant ses alliés et en altérant l’état de ses adversaires par ses charmes. Et si la force brute ne fonctionne pas, elle n’aura aucun scrupule à sacrifier ses alliés pour faciliter sa fuite vers un lieu plus sûr.

{
Habiletés spéciales.

▬ Capacités en séduction (charme, bluff, renseignements, représentation)
▬ Talent pour danser (charme, représentation), est naturellement agile et rapide (esquive).
▬ Immunité au poison ou à d’autres altérations physiques (Toon).
▬ Appel des sans-cœurs en renforts (une fois par combat).
▬ Avantagée pour la fuite (tant qu’il y a des alliés entre elle et les ennemis).

{
Caractère.

Blonde plantureuse, à la poitrine opulente et aux hanches généreuses, avec des tenues toujours plus affriolantes. Debby est à l’image de ce qu’elle représente : une pin-up animée, et non pas couchée sur du papier glacé.

Elle incarne en permanence cette idée d’une sexualité assumée, franche et sans détour, le décolleté pigeonnant, les airs sexy d’une femme fatale et surtout, le langage digne d’un charretier.

Car oui, Debby est vulgaire, provoquante et sa subtilité avoisine le zéro. Elle est son propre Maquereau, son corps un Quartier Rouge à lui tout seul et si passer pour une nymphomane ne la gêne pas le moins du monde, c’est qu’elle pense avoir compris le système dans lequel nous vivons. Ce sont les seins qui dominent la bite qui domine l’Homme qui domine le monde. Inutile alors de creuser plus loin.

Superficielle, Debby ne jure que par les robes cocktails, les escarpins, la lingerie de luxe et le maquillage glamour, rien que ça. Et plus le chiffre sur l’étiquette est gros, plus elle le réclame. Cela fait d’elle quelqu’un de pas du tout dépensière, cupide comme elle est, par contre elle a de nombreux caprices et adore qu’on lui fasse des cadeaux.

Beaucoup ont plongé dans son regard pour ne tomber que dans un profond vide abyssal, on la trouve stupide et il est facile de la sous-estimer et de la juger lorsqu’elle déborde de minauderies. Qui eut cru faire face à une telle vacuité ? Debby est totalement indifférente aux notions de bien et de mal, trop arrogante pour remettre en question ses propres valeurs. À choisir, elle sauverait ses talons qu’un orphelin passant par là.

Debby a tout connu, a tout vécu et a tout expérimenté. C’est ce qui l’autorise à juger d’un œil cynique les mondes qui l’entourent et ses habitants, Toon ou pas Toon, c’est ce qui lui permet de briser le 4ème mur et on dit d’elle que ça lui donne un charme fou, quand on ne la considère pas juste un peu malade.

Debby ne laisse pas indifférent, nous sommes le public cible de cette séductrice, dessinée pour nous fasciner, ce qui la rend charismatique, mais aussi manipulatrice. Mais c’est plus fort qu’elle, c’est dans ses traits de crayon. Piégée dans ce reflet qu’elle déteste, elle connaît et déteste toutes ses faiblesses, ne sait pas s’occuper d’elle donc s’attend à ce que les autres le fassent, aime les hommes, mais est incapable de leur faire confiance, tombe amoureuse la nuit, mais est malheureuse en journée.

C’est la tragédie de Debby : à être toujours seule et mal accompagnée.

Histoire.
}

ATTENTION //AVERTISSEMENT DE CONTENU//
Cette histoire dépeint une relation toxique et fait allusion à des violences psychologiques et sexuelles.

Cette histoire… Non.

Mon histoire commence dans un deux-pièces grises, petit appartement minable dans les bas-quartiers de Toonville.
C’est là où je suis née, de la plume d’un dessinateur sans le sou.
Il s’appelait John et nous vivions ensemble.

Dans les débuts de notre histoire, nous n’avions pas grand-chose, lui muni d’un crayon de papier, moi le regardant assise sur son bureau. Il m’avait moi et je l’avais lui, nous étions amants, mais aussi associés, muse et créateur. J’étais son dessin le plus abouti, ayant pris vie dans les traits brouillons de ses nombreuses pages de carnet. Notre relation était destinée à de grandes choses et l’âge d’or des Comics nous souriait déjà.

Mille castings et projections sur la scène du Cartoon, nous avions connu un petit succès, je dis « nous », car évidemment, on parlait toujours en « nous » à l’époque. Pour que notre coopération fonctionne, nous nous étions promis à une vie de compromis, c’était le prix à payer pour notre confort.

Nous étions si jeunes. Je me souviens de John, de son visage doux et de ses yeux ternes. Et moi de ma naïveté malgré mes trente ans d’apparence. On était si pitoyable devant les gros patrons de l’industrie, mais si amoureux. « Un duo rare, exceptionnel ! »…
Cela a fonctionné, pendant cinq ans, ce n'est pas beaucoup cinq années dans la vie d’une Toon, ça représente encore moins pour le porte-monnaie d’un dessinateur. La société évolue, l’industrie du Comics se lasse vite, il faut sans cesse satisfaire une audience jamais rassasié.

Nous n’étions en fait pas de taille face à ce géant hollywoodien.

***

Un jour, un éditeur a dit à John, que son trait était « grossier », que ses histoires étaient « vulgaires sans être drôles », ses personnages « sans intérêt », « mal dessinés » et que j’étais « détestable ». Finalement, le petit rôle que j’avais réussi à avoir dans un film animé ne valait « rien », un « fiasco », une « pâle copie de Jessica Rabbit », « reprenez vos torchons »…Pour moi, ces mots étaient insignifiants, mais avaient-ils seulement conscience qu’ils s’adressaient aussi à un artiste ? Ces idiots ignoraient t’ils que les artistes sont sensibles à la critique ? Mon John était un Grand Artiste, et c’est ce qu’il faisait qu’il était si abattu en entendant ces mots. Il avait toujours cru que dessiner était la seule chose qu’il savait faire. Cette nouvelle, suivie de près par son congé, fut l’effet d’une bombe dans notre relation.

J’ai attribué à ma personne les échecs consécutifs de John.  

J’ai alors essayé tous les tuyaux qu’un Toon fait pour faire survivre son dessinateur, il y avait beaucoup de boîtes à Toonville et beaucoup d’humains voyeurs qui les fréquentaient : j’étais peut-être détestable, mais sur la piste de danse, c’était à moi qu’ils lançaient leurs billets verts. Certains devenaient même charmants loin de leurs ignobles copains, je commençais à prendre goût à leurs cadeaux et à leurs gentilles attentions quand je sortais des coulisses : ils m’appelaient « Chérie », « Chaton », « Beauté »...

Mes nuits étaient blanches dans les hôtels de luxe, mais le matin, je devais faire face au visage écarlate de John. Je n’ai jamais eu peur de le perdre. C’est pour ça que je n’ai jamais cherché à lui cacher ma double-vie.
Je me regardais dans le miroir et je souriais à cette charmante image qu’il continuait de me renvoyer. Il m’aimait et il me le reprochait sans cesse. Mais qu’est-ce que j’avais bien pu lui faire ? Je l’avais aimé, pas assez aimé, trop aimé, aimé à côté ?

A ses nombreuses questions, je répondais toujours avec une sorte d’orgueil fatigué, lui était déjà occupé à courir après les maisons d’édition, je ne pouvais pas ne rien faire de mon côté. J’avais trouvé un petit job de strip-teaseuse dans une boîte de nuit, il avait qu’à dessiner une nouvelle muse qui lui rapporterait plus de contrats juteux si cela lui faisait si mal.
John n’a jamais accepté.

Et plus le temps passait, plus je le sentais trembler de colère à chacune de mes apparitions devant le paillasson, escarpins à la main, car j’avais peur qu’il dormît.  

Moi, j’essayais de sourire, en maintenant un certain sang-froid dans mes réponses tranquilles.
Mais au fond, je savais que je n’allais bientôt plus pouvoir travailler : à n’importe quelle heure du jour et de la nuit, je me sentais coupable des crises de John, je le savais en train de marcher dans la maison comme un fou. Et au travail, je commençais à me sentir coupable de mal parler à une collègue qui s’inquiétait de ma fatigue et de mes bleus. À ce rythme, si un mec me met une main aux fesses, je penserais aussi que c’est de ma faute.

J’aurais pu coucher chez une amie pour ne pas croiser son visage enlaidi par la colère, à m’attendre contre ma porte, à me retenir violemment par le bras qu’il gardait serré entre ses doigts.  

J’aurais préféré rester au boulot plutôt que me faire réveiller, lui qui pleure comme un enfant sur la fin de sa carrière, gémissant que c’était de sa faute, puis me le reprochant avec une violence toujours plus grandissante.

J’aurais préféré finir seule.

Petit à petit, cette colère contre moi-même et la prise de conscience du gâchis que je faisais de ma vie commençait à m’envahir, au même rythme que ce corps qui respirait contre le mien.
Hébétée, incapable de réagir, il n’y avait plus qu’à attendre.

L’appartement dans lequel nous vivions n’était plus qu’un radeau égaré, dont le capitaine en chef devenait fou, et moi seule passagère, impuissante, à attendre que la tempête s’arrête.
J’essayais bien plusieurs fois de sortir ma tête de l’eau, mais irrémédiablement, John me rattrapait dans l’escalier, me faisait remonter toutes les marches, une par une, en me murmurant à l’oreille d’insoutenables paroles, me ramenant dans le gouffre qu’on s’était nous-même creusés.

Un jour, il m’a menacé d’un briquet, de me brûler moi et cet appartement « minable », puis lui. Ça me mettait en colère qu’il parle ainsi de l’endroit où on s’est aimé, mais je ne pouvais rien dire, car la flamme qui s’approchait de mon coude me terrifiait.

Je suppliais John à coup de « je t’en prie », « s’il te plaît », « sois gentil » comme une gamine, et lui me caressait les cheveux, me demandait de ne pas pleurer, tandis que je vivais à côté de moi-même, à côté de cette histoire de dingue qui était devenue ma vie.

Ma vie, notre vie, dix ans de vie commune, cinq ans de prospérité puis cinq ans de misère, j’espérais que le cycle revienne au début ou se finisse.
Et c’est arrivé.

***

En rentrant du boulot, j’ai surpris un gars louche, un Toon balourd qu’on retrouve dans les bars louches à comploter avec les Fouines, c’est ce qu’il faisait je crois… A l’époque ça ne m’avait pas vraiment marqué ce qu’il faisait, plutôt ce qu’il a dit en claquant la porte derrière lui et en shootant dans une boîte de conserve.

« Pas de boîte noire ici... Ca valait bien la peine d'y traîner ses pompes, pff. »

Il grattait sa tête, pas gêné de parler si haut alors que n'importe qui pouvait l'entendre, genre moi adossée au même bar d'où il venait de sortir.

« Arf, il n'y a plus qu'à rappeler les sans-coeurs et repartir. Aucun intérêt de perdre plus de temps ici. »

Je l’avais suivi, plus par curiosité que par réelle crainte, ce genre de gars aboyait plus qu’il ne mordait vraiment, je n’avais pas peur des types comme lui, j’avais plus peur de John si jamais il se rendait compte que j’allais rentrer tard…
Seulement, ce type est entré dans notre immeuble.

NOTRE immeuble, on était voisin avec un tel allumé ?! J’ai laissé tomber ma filature pour prendre directement les escaliers. On était trop bête et on était si jeune, je pouvais bien encore supporter les hurlements de John si je pouvais continuer le sentir pleurer contre moi. Oublions tout, recommençons à zéro. J’étais maintenant prête à accepter toutes les conditions sans broncher, à me dresser, à devenir plus gentille.

« JOHN ?! »

Cette fois, il ne m’attendait pas devant la porte, il était assis sur le canapé, la tête effondré dessus. Il dormait, j’étais si rassurée.
Je n’avais pas tout de suite vue ces petits êtres aux yeux dorés qui me fixaient dans l’obscurité.

« John…Oh, John… »

Je l’allonge et l’embrasse tendrement sur le front, je me blottis contre lui tout en tirant notre vieux plaid, il était froid et moi aussi j’avais froid.

« John, je t’aime…Pardon d’être si égoïste…Je t’aime et je t’aimerai toujours, je te promets de te le dire tous les jours à partir de maintenant… »

Pourquoi ne se réveillait-il pas ? Lui qui avait le sommeil si léger…

Oh John, tu me manques tellement, je pleure à chaque fois que je raconte notre histoire…

***

Mon histoire avec John s’est finalement bien finie, pas dans un incendie, mais dans les ténèbres qui ont consumé tout ce qui restait de nous deux…
Pourtant, j’étais encore là, comment était-ce possible ? Je pensais que les Toons mourraient forcément avec leur créateur ? Mais aucune trace de John. Juste moi dans une nouvelle ville, du nom de Traverse Town.

Sans bagage et ayant toujours froid, j’ai erré dans cette ville à la recherche de mon amant, sans rien trouver. Autour de moi, que des personnes n’ayant plus monde, ami, ni même identité. Je détestais me reconnaître autant dans chacun d’eux. Je me rendais compte que sans John, je n’étais rien et que je n’avais jamais été quelqu’un pour commencer.

Passé les mois, j’ai fini par me faire une raison, observant d’un œil las des nouveaux arrivants. J’étais rien et pourtant, on continuait à vouloir m’adresser la parole, à vouloir m’aider…Je me suis refait un nom, j’en ai d’ailleurs changé (le seul cadeau que je peux laisser à John…), au point d’éviter les boîtes de nuit (et si je retombais sur quelqu’un que je connaissais ?) et de refuser les clopes qu’on me tendait…

Ah, évidemment, vous ne me croyez pas. Évidemment que je suis incapable de refuser une clope. Même à plus, tant que le gars est un peu mignon. Je n’ai jamais été très patiente et j’ai toujours préféré la solution de facilité. J’avais une manucure à protéger moi et les hommes m’offrent tout ce dont j’ai besoin.

Depuis un lit, j’observais les étoiles, cigarette entre les doigts : pour la première fois de ma vie, j’allais peut-être me rendre un service. « Elle » est morte avec lui, mais Debby vit toujours, Debby n’a plus rien à perdre, Debby est même prête à tout détruire s’il le faut.

***

Le hasard a fait que je suis retombée sur celui qui a détruit notre nid d’amour, à moi et à John. Évidemment, il ne me connaissait pas, il m’a vu et m’a simplement complimenté, disant que « j’avais du chien… ». Je n’ai rien dit, j’ai fermé ma gueule, je l’ai laissé mordre à l’hameçon puis j’ai commencé à l’ouvrir pour seulement le flatter. Moi qui voulais oublier cette histoire, moi qui n’avais plus goût à rien, il y avait peut-être bien quelque chose que je désirais le plus : qu’il m’amène à son boss et qu’on en finisse maintenant. Je voyais ça gros comme un gratte-ciel : un méchant mégalomane avec beaucoup trop de temps libre.

Je me suis alors inventée toute une vie à ce crétin de Pat, c’était son nom : une espionne de talent, fascinée par les ténèbres, les sans-cœurs, qui adore les hommes musclés (bien sûr qu’il l’était, quel bouffon…). Bref, les conneries habituelles. J'appris ainsi que la destruction de notre monde n'était même pas dans leur plan, c'était un bête accident, « Les-sans-coeurs se sont juste emportés. ». Il riait bêtement et moi j'étirais mon plus grand sourire de bécasse : « Oh vraiment ? Un grand gaillard comme vous ? Ca peut causer des accidents ? » Si vous le voyiez se faire mousser quand j’étais à son bras, c’était à se tordre de rire… Mais il reconnaissait mes qualités, mes talents, j’allais peut-être bien le servir lui et à sa patronne…

Attends, une PATRONNE ?

Maléfique qu’elle s’appelle, niveau subtilité on repassera, c’était certainement elle la GRANDE méchante derrière cet evil mastermind. Moi, je n'y comprenais pas grand-chose, mais c’était trop beau pour être vrai quand ce gros dindon m’a vraiment amené à leur cachette. Ca y est ma fille, t’allais toucher le jackpot.

La grande femme habillée en noire était par contre beaucoup moins ravie que son bras droit, et je dois avouer que moi j’ai eu un peu peur en la voyant s’entourer de flammes et hurler en chassant Pat (après j’ai ris car j’avoue que c’était quelque chose de très satisfaisant à voir). Elle était furieuse, à raison, ainsi son comparse dévoilait son plan à la première blonde venue ? Elle veut me parler, seule. Autant jouer franc-jeu avec elle, on se comprend entre femmes arrogantes. Non, je ne suis pas n’importe quelle blonde. Oui, j’étais une survivante d’un monde déjà englouti. Oui, j’avais perdu un être cher, mais ni elle, ni personne ne pouvait me le rendre. C’était fini. Cette histoire était déjà conclue.

La mienne maintenant, je la voulais beaucoup plus courte, avec un dessein fièrement égoïste : me venger de tous ces gens et de leur bonheur éclaboussant, de leur happy-ending que je n’ai pas eu. Au diable Mickey Mouse ! Soyez maudites Princesses des cœurs ! Les Héros ça n’a jamais existé ! Je me moque bien du pouvoir, donnez-moi juste le chaos, ce bon vieux chaos que sèment les méchants comme eux ou comme moi ! Je serai volontiers votre pion, votre disciple, votre catin. On dit de moi que je n’ai de toute façon ni fierté, ni honneur à défendre.
Non, je suis juste Debby, une Toon mal dessinée, détestable et vulgaire sans être drôle.

Et J’EMMERDE Jessica Rabbit.

XXX
avec beaucoup d'amour, Debby

{
Particularités.

▬ Déteste les enfants.
▬ Connaît le Roi Mickey, et pas que, elle a déjà croisé Donald et Dingo, ainsi que d’autres personnages du royaume Disney qui sont une fois passés à Toonville. Ils ne la connaissent pas, mais elle les connaît et ronge une vraie haine/jalousie envers eux et leur succès.
▬ Officiellement, Debby n’appartient à aucun « parti », elle essaye d’ailleurs d’entrer dans le Dark Council après être rentrée en relation avec certains de ses membres… Officieusement, Debby reste fidèle à Maléfique, elle lui inspire une certaine crainte, puis elle est quand même une leader « beaucoup plus charismatique ».
▬ Attire et enchaîne les relations toxiques.
▬ S’est trouvé un appartement à San Fransokyo.
▬ Se considère coupable de n’avoir pas pu sauver la carrière de John et regrette amèrement de ne pas avoir disparue avec lui.
▬ Pourquoi devenir méchante ? Elle trouve les gentils insipides et sans personnalité, puis c’est beaucoup plus « hot » d'être une méchante.
▬ Vomit sur les bons sentiments, mais elle trouve quand même le rose paillette très glamour.
▬ Fait du womanspreading dès qu’elle peut.  

Hors-jeu. }Vous laisserez bien une petite place à ma OC ?
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Chirithy
PnJ Modérateur
Chirithy
Such power Messages : 80
Munny : 376
Date d'inscription : 13/11/2018
Lun 23 Déc - 11:30
Validation!
}



{ Petit mot.
L'histoire est dark mais l'perso est naaaice ♪ En plus c'est une des rares harbinger of darkness, ça change du peuple au conseil :lmao:

maintenantvanousmanipuler~

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