Nom : Westerguard

Prénom : Hans

Âge : Vingt-quatre ans

Groupe : Dark Council

Classe : Guerrier (archétype Maître de guerre… comment ça on va pas réellement faire du D&D et qu’il montera pas de niveau ?!)

Type d'arme : Hans sait manier avec force et précision les armes blanches type épée uniquement, de par son instruction princière et le service militaire qu’il a dû accomplir. Bien sûr, pour avoir passé du temps à lire divers manuels et traités sur d’autres armes blanches, il a de bonnes connaissances sur celles-ci ; toutefois, cela demeure de la théorie et non de la pratique. En attendant, méfiez-vous de lui quand il a une épée sous la main ou quelque chose qui s’y rapporte. Il sait aussi manier des lames courtes comme la main gauche, donc faites aussi attention à ceci ! Notez tout de même qu’il est loin d’être le meilleur épéiste qui soit, ses frères étant bien meilleurs que lui. Bien qu’il sache faire mal au corps-à-corps (on ne sort pas cette phrase de son contexte, merci), avec une bonne précision, une arme à distance ou un peu de magie, c’est un homme mort.


Le dernier-né des Westerguard aime le tranchant de l’acier fendant l’air pour venir se loger dans la chair de son adversaire. Il apprécie la force brute et l’attaque est pour lui la meilleure défense ; toutefois, cela ne l’empêche pas de savoir se défendre en parant ou en encaissant. Bien que l’agilité ne soit pas son fort, il sait tout de même esquiver ; même dernier-né, il a reçu une bonne éducation et le maître d’armes a tout de même été chargé de le former ; et certains se souviendront de la scène avec Marshmallow: il faut au moins avoir une bonne dose de dextérité pour esquiver les coups de cette bestiole ! - mais comme dit plus tôt, avec une arme à distance ou de la magie, le combat peut vite se terminer en sa défaveur.


Même s’il se débrouille mieux dans un combat social, il n’en demeure pas moins un épéiste doué pouvant faire quelques dégâts s’il est au corps-à-corps. Par contre, à distance ou si on utilise de la magie, non, il ne fera pas long feu. Mais franchement, évitez vraiment de demander un duel à l’épée contre lui.

Hans se définit comme étant un habile manipulateur, suffisamment intelligent pour comprendre l’autre et l’analyser afin de déceler ses envies et ses faiblesses, lui permettant d’asseoir sa domination sur cette personne en jouant un rôle qui va fonctionner en miroir de celle-ci; il va l’imiter, en partie du moins, dans le but de se rapprocher et de faire croire à sa victime qu’ils se ressemblent tout à fait et sont sur la même longueur d’onde… qu’on peut lui faire confiance. Evidemment, il n’en est rien. Et Hans n’a aucun remord à faire ceci. Il pense que beaucoup de choses lui sont dues, notamment parce qu’il est prince; même dernier-né, il doit avoir quelque chose. Apparemment, sa famille pense le contraire, alors il faut qu’il acquiert son dû par lui-même… De fait, Hans pourrait être considéré comme un sociopathe – si on suit ce qu’en dit le wikia Disney à son sujet, car la narration tient à souligner que Hans est surtout un jeune homme ambieux sans réelle personnalité.
Si d’apparence il paraîtra toujours tel un jeune homme aimable, très serviable, tout à fait courtois et innocent, il n’est rien d’autre qu’un opportuniste envieux sachant saisir les bonnes occasions, un être ambitieux qui ne veut que la plus haute position qui lui est refusée aux Îles du Sud. Et il est prêt à tout pour y parvenir. Quel portrait peu flatteur du personnage, n’est-ce pas ? Malheureusement, il est presque impossible de pouvoir dire autre chose de lui… enfin… presque.
Niveau qualités, parce qu’il faut bien qu’il en est, on peut dire de lui qu’il est quelqu’un de fortement pragmatique; dans ses plans, il n’y a pas de place pour la fioriture, même lorsqu’il joue un rôle. Il est suffisamment subtil également pour ne pas être repéré dans sa manipulation et il est très observateur. C’est en étant attentif et se montrant compréhensif envers les personnes l’entourant qu’il parvient à construire ses rôles.
Un jour, ceci pourrait bien le mener à sa perte.


Hans est le dernier-né de sa fratrie, il est le treizième fils et pas forcément le plus apprécié. Souverains des Îles du Sud, ses parents assumaient pleinement leur rôle. D’un côté, le roi Adam, qu’on présente toujours comme un roi juste envers le peuple, travaillant pour le bien-être et la sécurité de la population, un homme qui n’a, effectivement, que peu de temps pour se consacrer vraiment à sa famille. De l’autre, la reine Mathilde, une femme courageuse qu’on pourrait qualifier de poule pondeuse – analogie peu glorieuse mais on conviendra du fait que treize enfants… c’est énorme, même pour l’époque ! – tentant d’être la plus exemplaire possible. Treize enfants, treize fils et aucune fille à marier. Le couple royal avait déjà un héritier bien portant, prometteur et aimé du peuple, les autres enfants, ils les voyaient comme une bonne manière de mieux contrôler les Îles du Sud, en famille, en plaçant leurs fils de manière stratégique. Bien sûr, ils les aimaient tout de même mais il était clair qu’au vu de leur position, ils n’avaient pas vraiment la possibilité de toujours le montrer. Aucun de leurs enfants n’a été malheureux à cause d’eux, ils veillaient à ce qu’ils ne manquent de rien et aient une éducation digne de leur rang.
Quand la reine Mathilde accoucha de Hans, elle avait déjà été affaiblie par les autres grossesses. Ce n’était pas rien d’avoir un autre enfant. Mais pour eux, cette naissance était tragique. Ah non, rien pour faire un Dark Sasuke ou un Gary-Sue : l’enfant était chétif et faisait peur à ses parents à cause de sa mauvaise santé visible ; c’est pour cette raison que le couple royal le couva un peu plus que ses frères, au début.
Il a eu une enfance digne de son rang et cela était formidable ! Il n’avait pas grand-chose à faire et de toute façon, toutes les bonnes places avaient déjà été prises ; faudrait dire au couple royal que même dans leur monde et à leur époque, les capottes existent mais là, c’est juste la narration qui s’emporte. Ses frères étaient toujours occupés avec leur fonction respective, alors oui, Hans a passé le plus clair de son temps, seul ; ou du moins sans sa famille pour jouer avec lui quand il était petit mais les domestiques étaient toujours là. Personne n’est à blâmer, Hans est juste un garçon qui n’a pas bien grandi dans sa tête à qui on a fait croire que certaines lui étaient dues de par son statut jusqu’à ce qu’on lui dise, en grandissant, que finalement, ce n’était pas forcément le cas. Les gens ont le sens de la contradiction.
A dire vrai, il y a si peu de choses à dire sur sa vie si ce n’est qu’effectivement, en tant que petit dernier bien chouchouté et sans grande responsabilité sur les épaules, certains de ses frères se sont montrés odieux envers lui et ont décidé de faire comme beaucoup de grands frères à l’ego mal placé pour asseoir leur autorité et juste faire ch… et jouer aux c… Alors oui, parmi eux, il y avait eu le futur roi des Îles du Sud et oui, personne n’a rien dit ; ni les parents ni les domestiques ni les autres frères. On ne peut pas en vouloir au futur souverain de se distraire un peu sur le petit dernier… non ? Il n’y a jamais eu mort d’homme… Hans est toujours en vie, intact… Il est juste en colère et déteste tout le monde sauf lui. Il a juste appris à tout renfermer et à jouer un rôle pour mieux frapper dans le dos… On vous jure, les gens sont stupides et s’étonnent de créer leurs propres démons. Bien sûr que non, Hans est bien mauvais à l’épée malgré l’instruction du maître d’armes par rapport à son aîné ; c’est donc normal qu’il l’ait accidentellement blessé lors d’un entraînement, que celui-ci ait malencontreusement chuté entraînant l’ouverture d’une plaie s’infectant et provoquant sa mort ; ce n’est qu’une suite d’événements absolument idiote, tragique mais complètement hasardeuse… n’est-ce pas ? Le problème, c’est qu’à force de coïncidences, on peut se méfier mais où sont les preuves pour vraiment l’accuser ? Il n’y en a pas. Mais douze frères à éliminer, c’est beaucoup ; il est temps de regarder ailleurs et d’y revenir plus tard. En vérité, pour ce pauvre orgueuilleux de Christian, le premier-né, ce fut effectivement un bête accident. Pour Alexander qui aimait un peu trop festoyer, il était facile de le faire boire plus que nécessaire afin qu’il ne se réveille plus jamais. Vincent et Philip se détestaient mutuellement et entretenir puis exacerber leur mésentente mutelle fut tellement simple que Hans s’en fécilite encore, d’autant plus que cela les a poussés à s’entretuer… les crétins. Il a aussi un peu honte pour ce pauvre Maximilian qu’il a poussé dans les escaliers ; c’était tellement grossier qu’il aurait pu être pris mais il s’est débrouillé. De pauvres accidents ne se succédant même pas ; il a appris à être patient. Mais oui, éliminer ses frères un à un était long et il aurait fini par être pris. Un peu de pragmatisme : un mariage et cela réglerait peut-être son problème. Oh… mais c’est qu’il y a prochainement le couronnement de la reine Elsa, non ? N’a t-elle pas une sœur également ? Soit il épouse la reine, soit il épouse la princesse et élimine sa sœur. L’embarras du choix.

Voulez-vous vraiment qu’on vous raconte les événements que tout le monde aura sûrement déjà vu sur petit ou grand écran ? Parce qu’honnêtement, la narration n’est pas très encline à se répéter. Sachez simplement qu’un étrange homme, venu de très loin, apparemment, lui a proposé son aide en échange de quoi il devrait obéir à quelques unes de ses directives et d’éliminer certaines personnes. Ce ne devrait pas être trop compliqué, n’est-ce pas ?
Laisser mourir l’une et faire croire à l’autre que tout était de sa faute avait été un jeu d’enfant… mais il en reste une encore en vie et c’est la plus dangereuse. Mais l’homme lui a dit qu’il s’en occuperait et qu’il n’aurait pas à l’affronter directement ; cela lui allait bien.  


   • Il essaie d’avoir un régime pesco végétarien; le saumon est son poisson préféré et il aime beaucoup les fruits de mer.
   • C’est un excellent cavalier quand il n’a pas d’arme en main.
   • Il est dangereux de l’enquiquiner au réveil quand il n’a pas encore eu son thé du matin – sans sucre et avec un nuage de lait, s’il vous plaît.
   • Il ressent un peu d’affection réelle pour Anna; autant que pour son cheval, c’est une brave bête. Si jamais il adopte un chien, il l’appellerait sûrement Anna.
   • Il est très facilement pris par une partie d’échecs endiablée.

Hors-jeu. }Troisième compte, ça y est ! INVASION !

{ Petit mot.
J'ai attendu si longtemps pour ce compte et je dois dire que je ne suis pas déçue du tout! Have fun

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Statistiques. }

• Rang : Aspirant
  
• Points de vie : 190 PV.
  
• Attaque : 21.
  
• Attaque critique : 33.
  
• Magie : 11.
  
• Sort critique : 11.
  
• Défense : 15.
  
• Soin : 12.
  
• Curaga : 12.