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Welcome to The Worlds, Professor
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Anonymous
Sam 16 Mar - 19:38
Welcome to The Worlds, Professor
Neverland. Tu ne savais pas particulièrement comment tu pouvais entrer dans ce monde, puisqu'il était réservé aux enfants, et tu savais que tu avais perdu ton attitude enfantine et ton âge avancé était loin de ressembler à celui d'un enfant. Tu n'avais aucune raison de te retrouver ici, mais quand tu le voulais, il était si facile de t'y retrouver. Peut-être plus facile que la plupart des mondes. C'était intrigant, mais intéressant en même temps.

Quand tu venais séjourner dans ce monde, tu ne prenais pas la peine de demander des contrats. Ces enfants semblaient tout avoir et tout trouver ce qu'il voulait comme si ces objets apparaissaient par magie. Tu n'avais aucun doute que c'était le cas, car l'ile et le monde au complet semblaient être faite pour accueillir des enfants et s'adaptait pour eux. Le fonctionnement de ce monde piquait ta curiosité. Un monde qui semblait connaitre les besoins et souhaits de ses habitants et les faisait apparaitre d'une façon ou de l'autre, c'était très très intrigant.

Tu te tenais sur un arbre, regardant Crochet. Il faisait partie du dark Council, tu le savais. Cependant, son statut ne te faisait pas peur. Il avait beau en faire partie, il était un des plus faibles. Son équipage n'était rien contre les pouvoirs de certain autre membre, tel le dieu des enfers ou encore la sorcière. Ce n'était qu'un simple pirate. Un seul homme. Les autres membres avaient au moins des pouvoirs magiques, ou autres capacités pouvant les aider dans un combat. Crochet n'avait rien d'autre que les forces du mal, et les Keyblade Wielders avaient prouvé à de nombreuses reprises comment cela n'aidait pas leur cause grandement.

Tu supervisais Crochet et ses hommes. Tu voulais quelque chose qui appartenait au Capitaine de ce navire. Et tu l'aurais coûte que coûte. Enfin, c'était plutôt pour le voir toi-même et pour honorer un contrat. Tu tenais ta parole. Tu haïssais ça les gens qui n'étaient pas dignes de confiance. Tu n'allais certainement pas faire de même pour tes employeurs.
ASHLING POUR EPICODE

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Invité
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Anonymous
Sam 16 Mar - 22:29

Ma dernière pensée alors que je verrouille ma valise va à mon propriétaire. Je me demande comment il va faire. Devrais-je lui laisser le montant du loyer du mois prochain en partant, histoire de le dépanner ? Ce n’est tout de même pas de chance d’avoir un locataire soudainement recherché dans tout le pays suite à une sombre histoire de ce genre-là. Il aura probablement du mal à trouver quelqu’un d’autre, surtout dans des délais raisonnables. Il a une femme et des enfants, probablement. Et moi ? Je suis un criminel en fuite. Je vais avoir besoin du moindre dollar, n’est-ce pas ? J’adopte une moue contrariée. De toute façon ce n’est sans doute pas lui qui viendra vider mon mobilier et qui trouvera l’argent donc ce serait du gaspillage. Autant ne pas graisser la patte du déménageur qui viendra jeter ma table à café dans l’escalier sans le moindre respect pour mon méticuleux travail de vernissage. J’ai un regard attristé pour mon peperomia. Et si je l’emportais avec moi ? Ce n’est pas mon chat, mais ce serait mieux que rien, non ? Ça me ferait un brin de compagnie.

Je m’adresse un dernier regard dans le miroir, dans la pénombre parce que je n’ai pas osé allumer la lumière. Je resserre mon nœud papillon, m’assure que les pans de mon long manteau sont bien lisses et je replace mes cheveux. Tout semble en ordre. Je ne fais que repousser l’inévitable parce que je suis nerveux. J’ai envie de délacer mes souliers, d’aller m’asseoir dans le fauteuil sur le bord de la fenêtre et de lancer du jazz sur mon vieux tourne-disque. Fermer les yeux en rejetant la tête vers l’arrière et m’endormir là. Comme si, au petit matin, mon statut de criminel recherché se serait évanoui tel un mauvais rêve. Sauf que ça ne fonctionnait pas comme ça et que ce à quoi j’aurais droit au réveil, c’était une autre paire de menottes. Et maintenant que j’étais parti une fois, ils seraient bien plus prudents. Grand soupir. Quand il faut y aller. Je me frottai les mains avec un air solennel. Pas que ce soit nécessaire, mais autant faire un peu de mise en scène, pour perdre du temps.

Je tends les mains devant moi et l’air crépite, se charge d’énergie bleutée instable. Mais je dois aller plus loin, plus loin que jamais. Alors j’y enfonce les doigts, je cherche à attraper le lieu le plus distant que je puisse atteindre. Serrant les dents, je me campe sur mes pieds alors que les soubresauts d’énergie se font plus agressifs. Allez, juste encore un peu. Mes bras tremblent, mes épaules se crispent. Ça va devoir faire l’affaire pour cette fois, me dis-je avant de tirer vers le bas, d’éventrer l’air devant moi pour faire apparaître un paysage ensoleillé qui me fait plisser les yeux. C’est brutal. Après quelques papillonnements des cils, je passe la tête dans la faille et regarde vers le bas. Un sol de bois, un peu plus bas que celui de mon côté. On a connu mieux, mais on a connu pire. Ça me fera une petite chute. D’abord la valise, que je laisse tomber de l’autre côté en un bruit sourd qui me fait enfoncer la tête dans mes épaules et grimacer. J’espère que rien n’est brisé là-dedans. Je m’empare ensuite de ma plante, la serrant contre moi de la gauche alors que je m’assieds prudemment sur le bord de ma brèche, passant une jambe de l’autre côté, puis l’autre. Après un dernier regard empreint de nostalgie pour mon appartement, j’empoigne le haut de la brèche et me laisse tomber dans ce lieu inconnu, laissant mon passage se refermer au fil de ma chute.

Alors, où suis-je ? La mer ! Enfin, sur le bord d’une île, visiblement. Et il fait plein jour ! Je me demande quelle heure il est. Je dois pouvoir ajuster ma montre, me préparer à subir le décalage horaire. Puis je suis sur un bateau, peut-être une attraction touristique ou une croisière à nature historique. Je vais devoir m’entendre avec l’agent de bord, payer pour une cabine, peut-être même fournir un passeport. Je me demande s’ils comptent rester amarrés ici. Ça ne ressemble pas aux îles que j’ai déjà vues dans les magazines. Je dois avoir fait un sacré bout de chemin.

« Qui êtes vous et que faites-vous sur mon navire ?!? »


Interpellé, je me retourne vers la source de la voix pour découvrir… un corsaire ?! Désireux de faire bonne impression, je m’empresse de récupérer ma valise, portant maintenant bagage d’un côté et peperomia en pot de l’autre. Je lui adresse un sourire poli, masquant tant bien que mal mon dégoût pour l’odeur. Ça doit être marrant comme métier, faux pirate, mais est-ce vraiment une raison pour ne pas se doucher ? Il y a fidélité historique et manque d’hygiène. J’espère que le bateau est au minimum équipé des commodités d’usage. Ceci dit je suppose que si je pouvais être un pirate, jouir d’une telle sensation de liberté, peut-être que je me laisserais aller aux mêmes vices. Je me demande s’ils sont bien payés, à quelle fréquence ils rentrent à terre pour passer du temps avec leur famille. Ça ne doit pas être un métier facile, encore moins s’ils ont des clients comme moi pour débarquer à l’improviste.

« Bonjour ! Je suis le professeur Avery, ravit de vous rencontrer. Suis-je… euhm… à bord d’une attraction historique ? Y a-t-il un moyen de regagner terre ou offrez vous des cabines pour les clients ? Je peux payer, si c’est un problème. Je comprends que je suis arrivé… un peu à l’improviste. »

« S'il y a un moyen ? Ah ! Il y a la planche ! Vous y goûterez si vous ne répondez pas rapidement à mes questions ! »

Hmpf. Bon. Je me renfrogne. Ce type aime visiblement beaucoup son travail. Un peu trop même. Voilà même qu'il m'agite une longue épée sous le nez, un fleuret probablement. J'adopte un air agacé. Avec les mains pleines comme ça, même pas moyen de l'éloigner de mon visage. Heureusement que j'ai des lunettes, il pourrait bien crever un oeil à quelqu'un !

« Écoutez, je sais que j'aurais sans doute dû appeler pour faire une réservation, mais j'étais vraiment pressé. Oh ! Vous n'avez pas le droit de quitter votre rôle, c'est cela ? D'accord, pourriez vous dans ce cas me diriger vers le gérant ? Votre employeur ? Ou peu importe qui qui soit en mesure de m'aiguiller ? Ce serait très aimable et très apprécié. D'ailleurs si vous pouviez aussi éviter de brandir cette... épée, sous mon nez. Ça aussi, ce serait apprécié. Merci bien. »
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Invité
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Anonymous
Dim 17 Mar - 13:33
Welcome to The Worlds, Professor
Tu allais t'en aller. Attendre la nuit, le moment où ton pouvoir était le plus efficace, pour voler l'objet de tes convoitises, cependant un événement changea rapidement tes plans. Un portail apparut sur le pont du bateau. Un homme en sortit, une plante entre les mains. Mais d’où il venait ce mec? Il en était à son premier voyage intermonde, cela se voyait. On n’arrivait pas dans un monde sans regarder où on atterrissait au préalable, c’était une règle de base. Cependant, cet évènement pourrait peut-être t’être bénéfique. Une parfaite diversion.

Te transformant, tu te dirigeas vers le bateau. Te reformant près d’un mur, caché à la vue du capitaine qui venait d’apparaitre.
[b|- Qui êtes vous et que faites-vous sur mon navire ?!?[/b]
Pauvre Capitaine Crochet. Il devait en avoir marre de trouver des enfants ou inconnus sur son navire.
- Bonjour ! Je suis le professeur Avery, ravit de vous rencontrer. Suis-je… euhm… à bord d’une attraction historique ? Y a-t-il un moyen de regagner terre ou offrez vous des cabines pour les clients ? Je peux payer, si c’est un problème. Je comprends que je suis arrivé… un peu à l’improviste. 
De quoi il parlait encore lui? Une attraction? Pensait-il que ce bateau était comme une… Visite guidée? D’où venait-il? Il ne savait visiblement pas où il se trouvait.
- S'il y a un moyen ? Ah ! Il y a la planche ! Vous y goûterez si vous ne répondez pas rapidement à mes questions !
Il s’impatientait, ça se voyait. Ce garçon allait goûter au sabre qu’avait sorti le Capitaine du navire. Jugeant que tu en avais assez entendu, tu te faufilas à l’intérieur de la cabine. Cherchant du regard, tu ne trouvas pas l’objet. Laissant s’échappe un “ts” d’agacement, tu te mis au travail. Ouvrant tiroir après tiroir, tu finis par trouver. Tu tenais présentement dans tes mains une carte. Oui, une carte. Cette carte était magique et pouvait faire apparaitre sur celle-ci l’endroit de vos convoitises. Vous cherchez un trésor? Une croix apparaîtra à son emplacement. Une carte que tu’avais demandé un ton client. Elle était très utile entre les bonnes mains. Tu ne choisissais pas de camp, mais tu n’aimais pas quand les forces du mal ou de la lumière étaient déséquilibrées. Tu allais alors donner cette carte aux “gentils’. Anonymement, bien sûr.

La plaçant dans ton sac, tu fus interrompu par la porte qui s’ouvrait.
- Qu’est-ce que tu fais là?
C'était marrant comment ta situation ressemblait à celle de l'autre. À une différence près. Toi, tu pouvais t'en sortir. Tu ne pouvais pas dire la même chose pour le professeur Avery.
ASHLING POUR EPICODE

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Anonymous
Lun 18 Mar - 11:31
Il semblerait que le corsaire ne soit pas très réceptif à mes formules de politesse. Comment je le sais ? Je me retrouve contraint de dresser ma valise devant moi pour esquiver un joli pointé de sa lame. Je vais même jusqu’à reculer d’un pas, mon air déjà contrarié se faisant d’autant plus agacé.

« Écoutez, moi aussi je serais frustré si je n’avais pas eu accès à des installations sanitaires depuis plus de trois mois, mais il se trouve que je tiens beaucoup à cette valise et à son contenu. D’ailleurs cette lame semble dangereusement réaliste. »

Est-ce réellement conforme ? Je serais surpris. Peut-être que je pourrais menacer de le balancer à ses employeurs ? Encore faudrait-il que je réussisse à leur parler. Puis il a l’air tellement à fond dans peu importe ce qui se passe ici que je sais pas trop si ça prendrait. Je commence même à me demander si je ne suis pas tombé dans un repaire de vilains, quoi que s’ils ont une thématique de pirates c’est un poil démodé. Et comment vont-ils faire pour commettre des crimes à partir d’un vaisseau si antique ? Mais ça expliquerait pourquoi j’ai l’air d’être le seul « client » à bord. Hypothèse à creuser donc, mais dans l’immédiat nous sommes interrompus par un tierce pirate qui semble avoir découvert un intrus dans la cabine du capitaine. J’adresse à celui-ci un énième sourire compréhensif, emplit de bonne volonté.

« Cela me semble nettement plus urgent. Ne vous inquiétez pas, je ne suis pas pressé. Je peux très bien attendre ici votre retour. »


Après un regard mauvais en ma direction, le pirate retire finalement son sabre de mes effets personnels. Enfin un peu de bon sens.

« Monsieur Mouche ! Attachez-moi celui-là au mat, je vais m’occuper de l’autre personnellement ! »

Quoi ? On veut encore me faire prisonnier ?! À croire que je ne suis pas allé suffisamment loin. Voilà qui est bien embêtant. Le nouveau venu est un petit homme rondelet, une corde entre les mains. Il n’a pas l’air aussi confiant, ni aussi dangereux, que l’autre. Petit et fourbe, voilà l’idée que je m’en fais. Ceci dit, je les connais bien ceux-là, j’ai eu affaire à eux chaque fois que j’ai eu des démêlées avec des vendeurs d’aspirateurs. Je devrais être en mesure de gérer la situation.

« Enchanté monsieur… Mouche ? Je suis le professeur Avery, bonjour. Écoutez, je crois que je pourrais vous être plus utile sans la corde. Il se trouve que je suis économiste et mon petit doigt me dit que vous auriez besoin d’aide pour remettre un peu d’or dans vos coffres, façon de parler. Dites-moi, quand avez-vous pu vous procurer de nouveaux vêtements pour la dernière fois ? C’est malheureux de voir un homme avec un t-shirt trop court pour lui ! Et puis un si beau bateau, l’entretient doit être tellement dispendieux. Je vous prie, laissez-moi vous aider. »
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Anonymous
Lun 18 Mar - 14:00
Welcome to The Worlds, Professor
Tu étais découvert. Jurant en langue Célestin, tu te retournais pour tomber nez à nez avec monsieur Mouche. Tu le regardas d’un regard froid, intimidant, de mise en garde de ne pas te toucher, mais par-dessus tout dégoutté. Cet être humain était pitoyable. Obéir aux ordres du capitaine devait être pénible, cependant cet homme était pénible encore davantage. Sa loyauté te faisait mal aux yeux et te donnait le goût de vomir. Soit il était totalement aveugle, soit il était stupide jusqu’au fond. Tu votais pour le dernier.
-  Cela me semble nettement plus urgent. Ne vous inquiétez pas, je ne suis pas pressé. Je peux très bien attendre ici votre retour.
Tu continuas de fixer des yeux l’être qui osait s’appeler un être humain avec une volonté.
- Monsieur Mouche ! Attachez-moi celui-là au mat, je vais m’occuper de l’autre personnellement !
Suivant le petit toutou au capitaine des yeux pendant qu’il se dirigeait vers l’autre inconnu, tu aperçus le capitaine. En te voyant, Crochet sembla te reconnaitre. Tu avais déjà effectuaient des contrats pour le Capitaine, mais même là, tu ne t’étais jamais très bien entendu avec lui.
- Le mercenaire. Que fais-tu ici? Je pensais m’avoir fait très clair que je ne voulais plus de contrat!
Ne lui prêtant plus attention, tu marchas tranquillement, te dirigeant vers la sortie.
- Ce n’est pas de tes affaires, Crochet.
Dis-tu, prononçant chaque syllabe de son nom.
- Tu es sur mon navire, alors oui c’est de mes affaires!
Ennuyant, il était ennuyant. Laissant s’échappe un soupir, tu regrettais un peu ta bonne volonté qui t’avait poussé à faire cet acte pour les forces de la lumière.

Tu poussas James de l’épaule en passait devant lui. Si tu avais de la chance, tu pourrais être assez loin quand il allait se rendre compte que tu lui avais volé quelque chose, ou encore mieux, tu aurais quitté ce monde.

C'est quand tu sortis en dehors de la cabine, que tu retrouvas le drôle de bonhomme qui se croyait en vacances. Tu allais disparaitre quand tu entendis un cri stride venant de la cabine du capitaine.
- Où est ma carte!?
Soupirant, tu observas Crochet s'approcher de toi, furieux.
- Tu as osé me voler quelque chose, mercenaire?!
Tu continuas ta marche, mais tu fus arrêté par une épée qui te fut lancée, se plantant à quelque centimètre de ton visage dans le mat, très très proche de l'inconnu venant d'un autre monde. Tu n'arborais aucun regard de surprise, ayant entendu le sifflement qu'avait fait la lame en volant dans les airs. Tu continuas de fixer devant toi, ignorant le pirate qui s'agitait telle une pieuvre dansante.
ASHLING POUR EPICODE

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