FORCE
☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆
DEXTÉRITÉ
★★★★★★★★☆☆
CONSTITUTION
★★★★★☆☆☆☆☆
INTELLIGENCE
☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆
SAGESSE
★★★★★★☆☆☆☆
CHARISME
★★★★★★★★☆☆
Yukimura
Prénom : Ayako
Âge : 41 ans
Groupe : Wanderers of Dawn and Dusk
Classe : Assassin
Type d'arme : Surtout des katana, mais de nombreux armes-à-feu, aussi.
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Type préféré de combat.
Elle est une personne au corps-à-corps, assurément, n'ayant pas accès à la magie. Elle est très agile et rapide, mais plus ou moins forte. Ayako préfère régler un combat en seul coup, si possible.
Elle a un compte de banque presque infini.
Elle a maitrisé l’art de manier un katana à l’aide d’un des meilleurs professeurs du monde.
D’un coup de téléphone cellulaire, elle peut appeler des dizaines de Yakuzas qui viendront l’aider.
Ayako a deux modes: travail et maison. Au travail, c'est une patronne sans pitié qui demande et n'accepte que le meilleur de ses sous-fifres. Elle a de grandes attentes envers ses lieutenants qui ne la déçoivent pas, d'habitude. Il n'y a pas de place à l'erreur, pour elle, dans le monde ou ils vivent, alors elle est aussi dure avec elle-même qu'avec sa famille de Yakuza. Ses ennemis la traiteraient d'une folle à lier sanguinaire, prête à tout pour avoir plus de pouvoir. Ses alliés la respectent, grandement, très conscients que c'est une force de la nature qui ne peut être arrêtée.
Si elle doit se salir les mains, elle le fera avec grand plaisir. Ayako a de la difficulté à s'arrêter de trancher, une fois qu'elle commence, c'est pourquoi on ne l'appelle qu'en dernier recours. Il était très rare que la matriarche n'atteigne pas l'objectif qu'elle s'était imposée. Tout le monde a un prix, ou une faiblesse. Il s'agit de trouver lequel est le plus facilement atteignable. Des fois c'est la torture, des fois c'est un kidnapping ou un meurtre. C'est facile, quand on a tellement de ressources.
Lorsque ça vient à la maison, par contre, c'est une tout autre personne. La Japonaise est une femme très maternelle envers ses enfants et elle ferait n'importe quoi pour les protéger. Elle est très consciente que son simple mode de vie peut mettre leur vie en danger, c'est pourquoi elle prend toujours les mesures nécessaires pour qu'il ne leur arrive rien. Les gens riraient, incapables d'y croire si on leur disait qu'Ayako lisait des histoires à ses enfants tous les soirs, qu'elle leur préparait un souper cuisiné, lorsqu'elle le pouvait, et qu'elle faisait de son mieux pour qu'ils aient une belle vie en dehors du monde cruel des yakuzas. Des fois, ils font des soirées cinémas, en pyjama avec du popcorn. Des fois, elle leur court après pour les chatouiller. Des fois, elle s'endort sur le canapé avec eux.
Le bonheur de ses enfants est son but premier, dans la vie. Combien de fois leur a-t-elle répété qu'ils ne devaient pas se sentir forcés de se lancer dans le même domaine qu'elle ? De choisir ce qu'ils aimaient et que c'était surtout ça, l'important? Beaucoup trop. Elle sait bien que des fois, c'est difficile, surtout lorsqu'ils veulent aller jouer chez des amis ou vice-versa. Ça la rend toujours nerveuse de voir son enfant dans un endroit beaucoup moins sécuritaire que chez elle, mais elle les laisse toujours. Si c'était important pour eux, il n'y avait rien qu'Ayako ne ferait pas.
« Merci Tanya, tu peux aller t’assoir. »
Une série de petits applaudissements retentit dans la classe d’enfants de 7 ans. La petite blondinette gênée va doucement se rassoir à sa place. L’enseignante zyeute ses élèves rapidement avant de baisser les yeux sur une feuille de papier qu’elle tenait sur son bureau
« Le prochain sur la liste… »
Elle savait très bien qui était le prochain sur la liste. Le petit Takara Yukimura, fils de la matriarche d’une famille très importante, et puissante des Yakuzas de SanFransokyo. Aujourd’hui, les enfants parlaient d’un sujet qui était très particulier pour Takara : le métier de leurs parents. Est-ce qu’elle allait vraiment lui laisser parler d’un sujet qui n’était vraiment pas pour un age aussi bas ? Comprendrait-il même tout ce que sa mère faisait ?... Ce n’était pas juste, non plus, de lui priver de ce petit projet. Il semblait si excité de pouvoir partager tout ça avec la classe.
La petit brun se lève de sa chaise, portant un gilet de la série de super-héros la plus récente, des cheveux en bataille et des yeux noisettes brillants. Il marche rapidement jusqu’à l’avant de la classe, quelques feuilles dans les mains. L’enseignante fait un petit soupire, puis, sourit à l’enfant.
Takara, grand sourire au visage fait un signe affirmatif de la tête, le regard vers son enseignante, puis, regarde le reste de la classe.
« Bonjour, je m’appelle Takara Yukimura. Aujourd’hui, je vais vous parler de ma maman et de son travail! Alors euh… Ma maman s’appelle Ayako Yukimura et elle est la plus grande patronne d’une grande famille de Yakuza! Il y a beaucoup d’autres familles, avec celle de ma maman, mais c’est la plus importante de SanFransokyo.
La Kogoshi Tatsu Alliance est le plus gros groupe de yakuza de SanFransokyo, avec au-dessus de 20 000 membres! C’est comme une très très grosse famille et ma maman est la prochaine sur la liste de ceux qui vont la diriger! Ma maman est super cool, elle a une grosse katana qu’elle traine presque tout le temps avec elle. Elle vient tout le temps me chercher avec des monsieurs en costumes, à l’école et je me sens tout le temps en sécurité quand elle est là! »
L’enseignante sourit, mais son cœur bat fort. Elle jette un œil rapide aux autres élèves qui semblent écouter très attentivement leur camarade de classe. Ce n’était pas un secret, qu’il était le fils d’une importante criminelle, mais d’avoir cette présentation, c’était quelque chose d’autre. L’adulte se racle la gorge, avant que le jeune homme ne s’écarte trop loin.
« Et qu’est-ce que ça fait, dans la vie, un Yakuza, Takara ? »
« Ah! Euh… Ma maman m’a dit qu’elle fait beaucoup de papiers. Il y a tellement de magasins sous la famille Yukimura qu’elle doit tout le temps s’occuper de problèmes d’argent et tout ça… Mais, aussi, ma maman aide beaucoup le peuple et le gouvernement de SanFransokyo! Elle donne de l’argent aux constructeurs, aux policiers, aux employés de la ville et même les petites entreprises. Ma maman s’assure, aussi, que les boutiques sont bien défendues et protégées. »
Des souvenirs d’une fusillade extrêmement violente reviennent en tête de la professeure qui se rappelait quand un clan yakuza ennemi avait tenté de prendre le contrôle, il y a de cela quelques années. La famille Yukimura était la raison pour laquelle l’Alliance n’avait pas tombée. Cette Ayako était terriblement terrifiante, autant par la simple quantité de personnes qu’elle avait sous elle, que le montant infini d’argent qu’elle semblait retirer de toutes ces business qui lui rapportaient des milliers de dollars tous les jours. Un mouvement tire l’adulte de ses pensées. Un élève lève la main pour poser une question à Takara.
« Et ton papa est un yakuza aussi ? »
« On vit seuls avec maman, moi et ma sœur. Maman nous a expliqué qu’on a pas de papa. Ben, on a un papa, mais pas un papa que maman aime, parce que maman aime les madames. Mais ma maman est comme une super maman, elle fait le travail d’une maman et d’un papa à elle toute seule! Des fois, pour l’aider, Bob est là, à la maison. Bob est le protecteur principal de maman. Il est très grand et très musclé, mais il est aussi très gentil avec nous. Quand maman a des urgences, des fois, le soir, Bob vient prendre soin de nous. Il est supposé protéger maman tout le temps, mais elle aime mieux qu’il soit avec nous, au cas ou… Maman peut se défendre, de toute façon, elle a un katana! »
Les journaux avaient souvent parlés de la mère de Takara comme étant une bête sanguinaire qui laissait des cadavres couverts de multiples coupures, membres manquant et autres détails pas très plaisants. Les gens se doutaient bien que ce n’était pas qu’une femme au pouvoir qui ne savait pas se défendre. Elle était au top parce qu’elle était forte, puissante et qu’elle s’était souvent sortie de situations presque impossibles. C’était une femme complètement terrifiante et avoir son enfant dans sa classe était le plus gros stress que l’enseignante avait eu de sa vie. Même si elle l’avait rencontrée en début d’année, pour lui assurer qu’elle ne voulait pas qu’on lui donne de traitement de faveur, juste parce qu’il était son fils. La petite voix était toujours là, derrière, dans sa tête. Et si on la retrouvait dans le fond de la rivière, les pieds coincés dans du ciment, parce qu’elle avait donné une mauvaise note à Takara ?..... Le compteur sur sa table fait un petit ‘’bip’’.
« Il te reste une minute pour conclure. »
Le petit brun semble comprendre et regarde ses feuilles, quelques secondes.
« Eum… Donc, ma maman a un métier très particulier, celui de la matriarche des yakuzas. On dit souvent de ma maman que c’est une criminelle et qu’elle fait mal à beaucoup de gens… Mais je sais qu’elle fait aussi beaucoup de bien à la société et qu’elle finance des choses que le gouvernement ne pourrait jamais se permettre! C’est aussi la meilleure maman du monde et je l’aime beaucoup. Merci de m’avoir écouté, j’espère avoir pu vous informé sur ce sujet. »
Takara fait une petite révérence, alors que les autres élèves de la classe se mettent à applaudir. L’enseignante fait de même, soulagée que ce soit finalement terminé. Elle écrit quelques notes sur une feuille, puis regarde la liste.
« Merci, Takara, tu peux aller te rassoir. Alors la prochaine sur la liste, c’est………….. »
Et la journée continue normalement, sans rien d’inhabituel.
Son oeil droit est non-fonctionnel dût à une ancienne bataille de clans
• Chez elle, Ayako aime porter des kimonos et vit dans une maison très traditionnelle
• Elle ne fait pas confiance aux machines, préférant que le travail soit fait par des humains
• Un peu beaucoup perverse
• Elle peut jouer du piano
• Méga fan de films d'horreur, même si elle ne le crie pas trop fort
• Ayako est tattouée presque partout sur son corps, sauf sur le visage
• Misandre
• Ses deux enfants, Minako (11 ans) et Takara (7 ans) sont très importants pour elle
• Ayako a commencé dans la rue, délinquante et cheffe de sa petite gang de rue, jusqu'à atteindre le niveau ou elle était devenue aujourd'hui après avoir donné corps et âme.
• Elle s'est payée le meilleur professeur pour lui apprendre l'art de manier le katana. Elle en est maintenant maitre, aujourd'hui
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